Dans la crêperie de Yannick en Seine-et-Marne, le Pass sanitaire est interdit : « Je ne connais pas, je ne sais pas ce que c’est. Je suis un résistant, un vrai, un pur gaulois breton. » Loin de ceux qui abandonnent, le Breton n’enverra pas ses serveuses faire la police auprès des clients venus chercher bonnes crêpes et détente : « Je ne demanderai pas aux gens. On demande aux femmes leur âge ? Et quand je suis plein comme le vendredi soir et le samedi soir, ne croyez pas que je vais mettre quelqu’un à la porte. Ici ce sont des serveuses, elles ne sont pas là pour faire le flic devant la porte. »
Il en va de même pour Armand, serveur à Paris, lui aussi s’oppose fermement au pass sanitaire : « Même si je suis en situation précaire, je préfère me mettre un peu dans le rouge. »