Ministre de l’Économie en 2015, Emmanuel Macron a autorisé la vente des turbines des centrales nucléaires d’Alstom à l’Américain General Electric. Il avait préparé cette vente depuis 2012, lorsqu’il était secrétaire général adjoint du cabinet de François Hollande à l’Élysée. Cette décision fatale pour l’indépendance énergétique de la France, le candidat l’a niée devant les ouvriers de Belfort le 10 février 2022, ouvrant ainsi sa campagne électorale avant la date prévue (10 avril). Le coût de cette vente est de 4 000 licenciements en France, la perte d’une technologie française, et un finalement un rachat de la partie nucléaire de General Electric deux fois plus cher que son prix de vente. Les turbines vendues 585 millions en 2015 sont rachetées par EDF 1,050 milliard d’euro, selon Le Canard Enchaîné.
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