Les médias occidentaux avait suivi l’hypothèse absurde que la Russie s’auto-bombardait… À la suite des demandes incessantes du Kremlin pour que l’AIEA (Agence internationale de l’énergie atomique) vienne inspecter les lieux et constater les faits, le vent vient de tourner devant l’évidence.
L’Ukraine ne peut qu’admettre être seule responsable des frappes à proximité de la centrale nucléaire de Zaporijia et d’avoir risqué une catastrophe nucléaire sans précédent, mettant ainsi en danger la totalité des pays européens. Nous pouvons parler ici de « terrorisme nucléaire » ! Le directeur général de l’AIEA Rafael Grossi dénonce : « L’intégrité physique — de la centrale nucléaire ukrainienne de Zaporijia — a été violée à plusieurs reprises. » « C’est quelque chose qui ne peut pas continuer à se produire », a-t-il ajouté.
BFMTV ira de son petit commentaire mesquin, mais sera contrainte à dire la vérité aux téléspectateurs après des mois de mensonges :
L'Ukraine affirme avoir frappé la ville où se trouve la centrale nucléaire de Zaporijjia pic.twitter.com/0x5XsCxeUc
— BFMTV (@BFMTV) September 2, 2022
Rafael Grossi a également annoncé la prolongation de la visite à la centrale (ZNPP) jusqu’au 4 ou 5 septembre. « Il y a deux groupes d’experts techniques de l’AIEA. Un groupe travaillera au ZNPP jusqu’au 4 ou 5 septembre pour évaluer la situation. Ils doivent formuler les premières questions, les premières données, donner une évaluation préliminaire, puis ils prépareront un rapport. » En outre, deux membres de la mission de l’AIEA resteront à la centrale de manière permanente.
La présence des employés de l’AIEA à la centrale nucléaire de Zaporijia sera une garantie que l’armée ukrainienne ne se risquera pas — nous l’espérons — à bombarder la centrale, car dans ce cas, les responsables de l’ONU deviendront les témoins du crime du régime de Kiev.
Le Média en 4-4-2