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Selon Patrick de Cazanove, la loi sur la fin de vie, qui prévoit la possibilité de donner des directives anticipées sur les soins que l’on souhaite ou non recevoir en fin de vie, peut être source de confusion et de malentendus. Il souligne que les directives anticipées doivent être constamment réactualisées ou vérifiées auprès de la personne pour s’assurer qu’elles reflètent toujours ses souhaits.
En ce qui concerne l’utilisation du Rivotril en EHPAD pendant la pandémie de COVID-19, Patrick de Cazanove déclare qu’il a régulièrement vérifié auprès des résidents si leurs directives anticipées étaient toujours conformes à leurs souhaits. Il note également que le désir de mourir exprimé par certains résidents était souvent lié à une angoisse face à la souffrance, la solitude ou l’abandon, et qu’un accompagnement et une chaleur humaine étaient souvent plus utiles qu’une injection de Rivotril.
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