
La reconnaissance faciale, cette technologie qui permet d’identifier une personne à partir de son visage, repose sur la mesure de certains points clés, comme la distance entre les yeux ou la largeur du nez, pour établir une signature biométrique unique. Cette signature est ensuite comparée à une base de données pour vérifier l’identité de la personne ou pour rechercher des correspondances avec des individus suspects.
Si vous pensez qu’il ne faut pas trop se soucier de la reconnaissance faciale et de la #surveillance, ne vous inquiétez pas, Klaus Schwab et ses potes s’en occupent pour vous.
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Mais la reconnaissance faciale ne se limite pas à l’identification. Elle peut également être utilisée pour analyser les émotions d’une personne, pour suivre ses déplacements dans un lieu donné, ou pour établir des profils de consommation. Les possibilités sont quasi-infinies, et les entreprises privées comme les gouvernements sont de plus en plus tentés d’utiliser cette technologie pour surveiller et contrôler la population.
Le problème, c’est que la reconnaissance faciale est une menace pour notre anonymat dans l’espace public. Dans une société où notre visage est constamment filmé, scanné et analysé, il devient impossible de se fondre dans la masse et de vaquer à ses occupations sans être surveillé. Nous sommes tous potentiellement des suspects, et nos moindres faits et gestes peuvent être utilisés contre nous.
Mais des moyens de résistance existent pour préserver notre anonymat et notre vie privée. Parmi eux, le port de vêtements et d’accessoires adaptés, tels que des lunettes de soleil, des chapeaux ou des écharpes, qui permettent de dissimuler partiellement ou totalement notre visage. Des maquillages spécifiques, des tatouages ou des piercings peuvent également perturber les algorithmes de reconnaissance faciale. Enfin, des outils numériques, comme des applications ou des filtres, peuvent être utilisés pour brouiller notre image et empêcher notre identification. Ces moyens, bien que parfois contraignants ou limités, sont autant de pistes à explorer pour lutter contre la surveillance de masse et protéger nos libertés individuelles.
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