
La commission de discipline a pris sa décision après avoir auditionné le joueur et constaté son refus de participer à des actions de sensibilisation à la lutte contre l’homophobie. Le joueur, lors de son audition, a refusé toute action de sensibilisation à la lutte contre l’homophobie. La commission voulait-elle l’humilier en l’envoyant expliquer à des enfants qu’une drag-queen qui leur lave le cerveau dans un centre aéré ou une classe d’école c’est « le progrès » ?
🚨 OFFICIEL ! Mohamed Camara écope de 𝟰 𝗠𝗔𝗧𝗖𝗛𝗘𝗦 𝗗𝗘 𝗦𝗨𝗦𝗣𝗘𝗡𝗦𝗜𝗢𝗡 pour avoir masqué le logo de la lutte contre l’homophobie lors de la dernière journée de Ligue 1. 🟥 pic.twitter.com/bZHMQMx1Y7
— Actu Foot (@ActuFoot_) May 30, 2024
« Nous allons respecter la décision de la commission », a déclaré Thiago Scuro, le directeur général de l’AS Monaco, au micro de RMC. « Depuis le début, la position du club est très claire. Nous soutenons la cause, les actions de la Ligue. Nous sommes vraiment désolés et nous nous excusons de nouveau pour le comportement d’un de nos joueurs. C’est pourquoi nous respectons totalement la décision. » Le club lâche donc son joueur et se plie devant la puissance du lobby wokiste.
Cette sanction privera Mohamed Camara du Trophée des Champions contre le Paris Saint-Germain, le 8 août, ainsi que de trois rencontres de Ligue 1. Le joueur, qui a disputé 20 matchs en Ligue 1 cette saison, n’a t-il pas le droit de refuser de faire la promotion du LGBTisme ?
Rappelons que la lesbienne et transsexuelle, Camille Paglia en personne, dénonce la maltraitance chirurgicale des enfants dans la mode du wokisme ! Et que dire du témoignage émouvant de Luka Hein : une femme transgenre qui regrette sa transition commencée à 16 ans ? De la La Gay Pride LGBT de Maspalomas qui tourne à l’orgie dans les jardins publics devant les riverains scandalisés et les parents choqués ? Ou encore de l’association LGBT qui dit stop et avertit : « Nous sommes sur une route sombre menant à la pédophilie légale » ?
Mohamed Camara est donc obligé d’accepter de voir des enfants en petite tenue, portant des bas et des porte-jarretelles qui défilent lors du Carnaval de Torrevieja en Espagne sous les couleurs LGBT ?
Chaque année, la lutte contre l’homophobie, sous bannière LGBT, dans le football fait débat et certains joueurs refusent d’y être associés. Reste à savoir si cette suspension de quatre matchs fera réagir ces autres joueurs opposés à cette obligation. On peut l’espérer : la Ligue de football doit respecter les convictions de chacun et de ne pas imposer une idéologie unique aux joueurs. Le dirigeant de l’ASM a en tout cas promis de « travailler pour que ça ne nous arrive plus. » Gros coup de pression en perspective avant la prochaine journée de sensibilisation pour que tous les « homophobes » portent bien le drapeau LGBT !
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