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Le Gardasil est un vaccin destiné à protéger contre les papillomavirus, responsables de verrues et de tumeurs bénignes dans la plupart des cas. Cependant, le Dr Delépine souligne que le lien exclusif entre ces virus et le cancer du col de l’utérus est extrêmement douteux. Il affirme que la fréquence du virus est énorme comparée au taux de cancer, ce qui rend peu probable un lien de causalité exclusif. Il ajoute que le cancer du col de l’utérus est une maladie rare en France, selon l’OMS, et qu’il n’existe aucun essai randomisé démontrant que le Gardasil diminue le nombre de cancers.
Gérard Delépine remet également en question l’efficacité du vaccin contre l’hépatite B (tarif : 26 € B et 45 € A + B) dans la prévention du cancer du foie. Il cite des études montrant que la vaccination n’a pas réduit le nombre de cancers du foie dans certains pays, et que le lien entre le virus de l’hépatite B et le cancer du foie est statistique plutôt que prouvé. Il suggère que les campagnes de vaccination reposent sur la peur et sont motivées par des intérêts financiers. Une hypothèse étayée par le prix du Gardasyl : 115,20 € pour deux doses. Après remboursement par la Sécurité sociale, il reste à charge 80 € (à moins qu’une mutuelle ne vous rembourse). Un tarif dissuasif. Mais la parade a été trouvée : dans les collèges les injections sont « gratuites ». Comme rien n’est gratuit au pays de Big Pharma, les vaccins seront payés par la Sécu, elle-même payée par les cotisants (donc vous). En 2024 le plafond du salaire ponctionné a augmenté de 5,4 %…
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