Lyo a commencé à ressentir un rejet de son corps et de son identité féminine dès l’enfance. Elle a toujours eu des caractéristiques plus masculines et a eu du mal à s’identifier aux femmes. Lyo a développé une haine et une jalousie envers les hommes et s’est déclarée homosexuelle à l’adolescence. Cependant, elle a eu du mal à se sentir à sa place dans la communauté LGBT en raison des stéréotypes et des codes qui y sont associés.
La jeune suisse a commencé à se sentir mal en tant que lesbienne. Elle a commencé à se sentir homme et a entamé une transition pour en devenir un. Cependant, elle regrette aujourd’hui cette décision : elle se considère comme une victime d’un mouvement et explique avoir été influencée par la communauté trans.
Lyo a réalisé qu’elle ne voulait pas devenir un homme, mais plutôt ne pas être une femme. Elle a eu du mal à accepter son corps et a développé une dysphorie de genre. Son témoignage vise à aider les autres personnes qui pourraient se trouver dans la même situation et à mettre en garde contre les dangers de la transition.
« Je suis victime d’un mouvement. » Le titre se suffit à lui seul, pas besoin d’en entendre plus .
Qu’une sardine soit victime du mouvement de son groupe , passe encore, mais qu’un humain ne soit pas capable de faire ses propres choix en fonction du bon sens , des lois naturelles et rejette la faute sur les autres je trouve cela inadmissible . Quand on fait une connerie , on assume . Je n’ai aucune compassion pour ces abrutis qui vomissent leur haine sur tout ce qui ne se soumet pas à leur idéologie perverse . Là je ne parle pas des véritables trans qui savent rester discrets et vivre leur vie sans chercher à accuser le reste de la terre de leur conflit intérieur, mais de cette clique qui se veut moderne et progressiste au point de tenter de pervertir même les enfants . Ensuite essayer de mettre les autres en garde c’est une bonne initiative , mais il faut commencer par utiliser les bons termes si on est sincère et dans ce cas on ne commence pas en disant : » je suis victime d’un mouvement », mais « je me suis mis dans la merde toute seule » .