Mohamed Camara a utilisé du sparadrap pour cacher le logo contre l’homophobie sur son maillot, et ce, pendant toute la rencontre. Il avait également été volontairement absent de la photo protocolaire d’avant-match. L’homme ne semble pas vouloir être associé et se soumettre à ce lobby associatif qui prône la lecture de drag queens dans les écoles !
🚨 En cette journée de championnat de lutte contre l’homophobie, Mohamed Camara a placé un scotch noir sur le logo de la Ligue 1 aux couleurs LGBT 🏳️🌈.
Il a également un scotch blanc sur le patch contre l’homophobie sur son torse.
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— Actu Foot (@ActuFoot_) May 19, 2024
La ministre des Sports Amélie Oudéa-Castera a qualifié ce comportement d’inadmissible et a demandé à la Ligue de Football Professionnel de prendre des mesures. Elle a également souligné le fait que d’autres joueurs avaient refusé de participer à cette soirée de lutte contre l’homophobie. Cependant, elle a été étonnée que Mohamed Camara ait pu entrer sur le terrain avec son maillot floqué et caché, et que personne n’ait réagi. Elle a déclaré :
« L’entraîneur a accepté ça, le président du club a accepté ça, l’arbitre a laissé faire, le délégué de la Ligue de Football Professionnel a laissé faire. C’est pas n’importe quel club, c’est quand même l’AS Monaco qui a une certaine visibilité »
Mohamed Camara joue avec un strap sur le logo contre l’homophobie : « Je trouve que c’est un comportement inadmissible et doit faire l’objet de sanctions les plus fermes contre le joueur, mais aussi contre le club qui l’a laissé faire »@AOC1978 est l’invitée d’@amandine_begot… pic.twitter.com/v313WrDR04
— RTL France (@RTLFrance) May 20, 2024
Johann Lemaire, de l’association Foot Ensemble, partenaire de l’opération avec la Ligue de Football Professionnel, a également réagi en déclarant :
« C’est toujours pénible de voir des joueurs qui assument comme ça leur homophobie. On s’attendait à quelques joueurs qui se plaignent de participer à une campagne de lutte contre l’homophobie, mais là, c’est un énervement, une grande déception »
Chaque année, nous assistons à la même polémique où le lobby LGBT tente d’imposer son idéologie au monde entier, allant au-delà de la lutte contre l’homophobie en prônant la lecture par les drag queens dans les écoles, le transgenre ou encore l’indifférenciation sexuelle. Face à ce lobby et à ce qu’il véhicule, certains estiment qu’il est préférable de ne pas cautionner cela. Une association au sein de la communauté LGBT, « Gays Against Groomers« , a décidé de dire stop et d’avertir :
« Au fil des années, cette célébration est passée d’un événement d’amour et d’égalité à une exhibition choquante de sexualité débridée et de débauche en notre nom. Nous sommes sur une route sombre menant à la pédophilie légale. Non seulement nous trouvons maintenant la Pride inutile, mais nous sommes préoccupés par l’exposition de matériaux intrinsèquement sexuels relevant du parapluie LGBT aux enfants. Dans le passé, nous avons vu des enfants être amenés à des défilés où des adultes vendaient des jouets sexuels, étaient à peine habillés et affichaient un comportement inapproprié que beaucoup de mineurs ne devraient pas être témoins. »
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