Des joueurs de foot refusent de porter le t-shirt de l’idéologie LGBT qui prône le transsexualisme et l’indifférenciation sexuelle

mise à jour le 15/05/23

Le match de la 35e journée de Ligue 1 entre Toulouse et Nantes, remake de la dernière finale de la Coupe de France, a été marqué par un événement qui n’a rien à voir avec le foot. Le TFC a choisi d’écarter des joueurs qui ont refusé de porter le flocage arc-en-ciel LGBT sur leur maillot pour la journée internationale de lutte contre l’homophobie.


La veille, La Dépêche avait révélé que les joueurs Zakaria Aboukhlal, Moussa Diarra et Saïd Hamulic refusaient de porter ce flocage. « Des joueurs de l’effectif professionnel ont exprimé leur désaccord concernant l’association de leur image aux couleurs arc-en-ciel représentant le mouvement LGBT », a déclaré le club dans un communiqué publié quelques minutes avant le début du match.

Bien que respectueux des choix individuels de ses joueurs, et après de nombreux échanges, le Toulouse Football Club a choisi d’écarter lesdits joueurs. Le club a rappelé que 18 nationalités et 5 continents sont représentés au sein de son effectif professionnel et que l’ouverture sur le monde fait partie intégrante de son ADN. « Nos joueurs sont choisis pour leurs qualités humaines indépendamment de leurs croyances ou de leurs convictions », a-t-il ajouté.

Le droit à la liberté de pensée des joueurs est un sujet sensible. Bien que le club ait pris la décision d’écarter les joueurs qui ont refusé de porter le flocage arc-en-ciel, il est important de rappeler que chacun a le droit d’exprimer ses convictions personnelles. Le Nantais Mostafa Mohamed et le Guingampais Donatien Gomis ont également refusé de porter ce maillot aux couleurs LGBT.

Une polémique qui rappelle celle du joueur de football Idrissa Gana Gueye qui avait refusé de jouer sous le maillot aux couleurs de l’arc-en-ciel pour la journée internationale de lutte contre l’homophobie l’année dernière. Le journaliste Bastien Lejeune avait alors pointé du doigt l’hypocrisie ambiante, alors qu’au même moment la Fédération française de football organisait la coupe du monde au Qatar, un pays qui punit l’homosexualité de la peine de mort.

Face à l’hystérie véhiculée par certains, Bastien Lejeune rappelait des fondamentaux : « Ce n’est pas la même chose d’être homophobe et de refuser de cautionner ou de s’associer à une idéologie LGBT qui fait la promotion du transsexualisme, de l’indifférenciation sexuelle… Je pense qu’on a le droit d’être en désaccord et que cette injonction est stupéfiante et totalitaire. »

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