« Ces contenus vont avoir un impact sur la façon dont les enfants auront à vivre leur propre sexualité. Ça s’appelle un viol de leur intimité. Certains enfants pleurent, certains ne veulent plus aller à l’école, d’autres se bouchent les oreilles. Très sincèrement, je ne suis pas inquiète pour cela. C’est ceux qui ne disent rien qui m’inquiète. »
Caroline Eliacheff, pédopsychiatre
Le programme EVARS 2025 n'est pas encore finalisé mais il suscite déjà la controverse. CNEWS a eu accès au contenu de ces cours obligatoires d'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle, qui commencent dès la maternelle (!) où les enfants apprennent à pointer leurs parties intimes, à les nommer avec des noms scientifiques. Il s'agit aussi dès cet âge-là de "lutter contre les stéréotypes de genre"...
mise à jour le 13/12/24
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Lorsqu’il est ainsi touché à l’enfance par des instructeurs de l’ordre du chaos, il me vient un mauvais goût de haine indicible, incoercible, d’annihilation pure et simple des ces pédophiles pontifiants destructeurs de l’intouchable. Ilest à croire qu’il n’est plus que la force brutale pour leur faire rendre gorge. Ce n’est plus possible d’accepter tout et surtout le n’importe quoi. Pire, de ne pas entendre les parents remettre ces crétins au pas. Il est vrai que les écoles ne sont plus que des crèches et que les parents, les mamans qui travaillent, délèguent leur autorité parentale aux sous produits de basse humanités ci-évoqués, des ensignants.