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Les Palestiniens comparés à des animaux : Isabelle Morini-Bosc tente de s’expliquer après la polémique

Isabelle Morini-Bosc au cœur d’une polémique dans TPMP après des propos jugés offensants envers les Palestiniens. Elle réagit, mais les internautes restent sceptiques.

mise à jour le 02/11/24

Les propos d’Isabelle Morini-Bosc sur le conflit israélo-palestinien suscitent une polémique massive sur les réseaux sociaux.

Polémique autour des propos d’Isabelle Morini-Bosc et Valérie Benaïm

La tension était déjà palpable sur TPMP, suite aux propos de Cyril Hanouna, animateur de l’émission, qui a explicitement menacé d’évincer un chroniqueur ayant exprimé une position pro-palestinienne. Lors de cette émission du 31 octobre, les chroniqueurs ont abordé la question du match France-Israël prévu au Stade de France le 14 novembre prochain. Une rencontre sportive qui divise l’opinion publique : Louis Boyard, député LFI, en a même demandé l’annulation, invoquant « l’article 4 des statuts de la FIFA » qui oblige au respect des droits humains universels.

Au cours des discussions, Valérie Benaïm a décrit Israël comme « la seule démocratie de la région ». Une « démocratie » qui tuera tout de même 180 000 gazaouis. Isabelle Morini-Bosc a alors ajouté une phrase surréalistes qu’Israël est « entourée d’animaux », comparant les Palestiniens à des « animaux ». Cette intervention a suscité un tollé immédiat sur les réseaux sociaux, où les internautes n’ont pas hésité à dénoncer des propos qu’ils considèrent comme blessants et inappropriés.

Isabelle Morini-Bosc répond à ses détracteurs

Au lendemain de l’émission, Isabelle Morini-Bosc s’est emparée de son compte X (anciennement Twitter) pour répondre aux critiques. Elle a clarifié ses propos en déclarant : « Eh les mecs, lavez-vous les oreilles ! Je n’ai évidemment pas dit « un pays entouré d’animaux », j’ai dit « un pays entouré d’ennemis ». Quelle triste volonté de nuire », a ajouté la chroniqueuse, affirmant qu’elle n’avait en aucun cas voulu insulter qui que ce soit. Cependant, cette explication peine à convaincre de nombreux internautes, qui assurent avoir entendu clairement le mot « animaux » et rejettent la justification avancée par Morini-Bosc. La séquence a d’ailleurs été analysée et partagée des milliers de fois, alimentant le sentiment que ses propos étaient inappropriés.

Des propos qui rappellent ceux du ministre de la Défense israélien, Yoav Gallant, qui avait annoncé l’imposition d’un “siège complet” de la bande de Gaza, tout en qualifiant les gazaouis d’animaux :

“Pas de nourriture, pas d’électricité, pas d’eau, pas de gaz. Nous combattons des animaux et nous agissons en conséquence”.

Le ministre Yitzhak Goldknopf, avait également fait cette comparaison le 23 mai 2024 :

« Nous n’avons aucun désir de contrôler les habitants de Gaza, mais ne pouvons pas non plus vivre à côté d’un État d’animaux-humains. »

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2 commentaires sur "Les Palestiniens comparés à des animaux : Isabelle Morini-Bosc tente de s’expliquer après la polémique"

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  1. Israel , plutôt l’Etat Théocratique Hébreu occupant de la Palestine par la conquète militaire, un peuple sectaire disparate sans origine commune, tenu par un dogme religieux, n’a pas de Constitution ni de frontières définies. Ce n’est pas un pays. Ce n’est là, dans cette région du monde, qu’une orthopraxie coucou de ressortissants majoritairement slaves, non sémite, disputant la souveraineté territoriale par la guerre à d’autres orthopraxies établies de très longue date, depuis toujours s’agissant de peuples de langues sémitiques.

  2. Le culot de dire israel est la seule démocratie !

    La loi Israël, État-nation du peuple juif, adoptée le 19 juillet 2018 par la Knesset, est l’une des lois fondamentales d’Israël.

    Cette loi, à caractère constitutionnel, définit Israël comme « l’État-nation du peuple juif », précisant que « le droit d’exercer l’auto-détermination au sein de l’État d’Israël est réservé uniquement au peuple juif ».
    L’État voit le développement de l’implantation juive comme une valeur nationale, encouragera et promouvra son développement et sa consolidation ;

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