Ah, la Seine… Ce fleuve majestueux qui traverse Paris et qui, ces derniers jours, s’est découvert une nouvelle vocation : être le parfait incubateur pour les maladies gastro-intestinales. Lundi 5 août, alors que le monde admirait les exploits des triathlètes portugais lors du relais mixte, certains ont reçu un cadeau surprise : une infection dont ils se souviendront longtemps. Vasco Vilaça et Mélanie Santos, deux des courageux athlètes qui ont plongé dans les eaux parisiennes, en sont ressortis avec bien plus que des souvenirs olympiques.
« Plonger dans l’histoire… et les microbes »
Le Comité olympique portugais (COP) a annoncé la nouvelle avec toute la délicatesse d’un marteau-piqueur : nos deux héros ont contracté des infections gastro-intestinales après leur bain forcé dans la Seine. Pour ceux qui pensent encore que l’eau de ce fleuve est aussi pure que les intentions des organisateurs, voilà une preuve éclatante du contraire. Si la cinquième place des Portugais dans le classement général est à célébrer, on ne peut s’empêcher de se demander si elle valait vraiment le prix à payer.
Vasco Vilaça, dans un élan de positivité que seuls les sportifs de haut niveau possèdent, a tenté de relativiser la situation. Sur Instagram, il confie : « Les symptômes passeront, mais l’héritage olympique restera. » Vomissements, diarrhées, maux de tête et de ventre, rien de tel pour graver des souvenirs inoubliables dans l’histoire. À ce rythme, on pourrait même envisager de nouvelles disciplines olympiques : qui vomit le plus loin, ou qui tient le plus longtemps avant de céder à la grippe intestinale ?
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2 athlètes portugais contractent une infection intestinale, après avoir concouru dans la Seine.Après l’hospitalisation de la nageuse belge Claire Michel, les Portugais Vasco Vilaça et Mélanie Santos sont tombés malades lors des épreuves de triathlon des JO de Paris pic.twitter.com/n0H6UVhuSB
— 🍓Sined Warrior🐭🍓 (@SinedWarrior) August 8, 2024
Une contamination au sommet de l’Olympe
Mais Vilaça et Santos ne sont pas seuls dans cette galère aqueuse. La Belge Claire Michel a également dû renoncer à participer au relais mixte, bien que, dans un effort admirable de défendre l’honneur de la Seine. En Suisse, la situation n’est guère plus reluisante. Le triathlète Adrien Briffod a dû abandonner en raison de problèmes gastriques, et son remplaçant, Simon Westermann, a également succombé… à une infection mystérieuse.
Cependant, que personne ne s’inquiète ! Les responsables olympiques et les fédérations sportives sont là pour nous rassurer. « Ce n’est pas lié à la Seine », clament-ils. Bien sûr, on les croit sur parole. Après tout, qui oserait penser qu’un fleuve traversant une métropole de plusieurs millions d’habitants pourrait être un foyer de contamination ?
Quand la gloire rime avec gastro
À l’heure où certains se demandent si plonger dans la Seine ne devrait pas être classé comme sport extrême, les athlètes continuent de faire preuve de résilience. Dans quelques années, quand ils raconteront leurs exploits à leurs petits-enfants, ils pourront ajouter ce détail croustillant : « J’ai survécu aux Jeux Olympiques de Paris… et à la Seine. »
Bref, entre la gloire olympique et la réalité sanitaire, il semble que certains souvenirs resteront gravés dans les intestins des triathlètes bien plus longtemps que dans leur mémoire. Quant à la Seine, elle continuera de couler paisiblement, prête à accueillir les prochains héros du sport… et leurs désagréments intestinaux.
Ok on a tous compris que la Seine est un bouillon de culture. Mais quid de cette bande de cinglés qui se jettent dans cette fosse à purin ? Risquer sa santé voir sa vie pour une minute de gloriole sur un podium c’est le summum de « l’égolaterie « . D’ailleurs quand on voit les gradins pleins de gens qui ont payé une petite fortune pour « Y ETRE » et le prix des accessoires : » 230 euros le bob, 150 euros le tee-shirt ou encore 70 euros le porte-badge (oui un porte-badge en plastique)… Les prix de revente affichés des vêtements des bénévoles aux Jeux de Paris 2024 atteignent des sommets sur Vinted. »
Source : https://www.20minutes.fr/economie/4104197-20240802-jo-2024-230-euros-bob-uniformes-benevoles-jeux-revendent-prix-or-vinted
On est en droit de se poser des questions sur l’état de santé mentale de nos concitoyens . ………………
Dans l’oreillette on me dit qu’une certaine injection à base d’ARNM ne serait pas étrangère à ce cirque .