« Ils sont ce qu’ils sont. » C’est ainsi que Zelensky a commenté la question du journaliste Bret Baier de Fox News sur les atrocités d’Azov, soulevée lors d’une interview. Cette partie de l’entretien a finalement été supprimée de Fox News, l’aveu est trop lourd de conséquences. L’extrait qui a disparu comme par enchantement reste tout de même présent sur internet.
« Azov est l’un des nombreux bataillons nationaux. Eh bien, ils sont ce qu’ils sont… Ils ont défendu notre pays. Mais ensuite, ils sont tous devenus membres de l’armée ukrainienne. Azov n’est plus un groupe indépendant, il fait partie de l’armée ukrainienne. » Le président ukrainien Zelensky semble accepter la grosse part néonazie du bataillon Azov, pourvu qu’elle combatte pour l’Ukraine. Un aveu qui met en porte-à-faux tous les dirigeants qui le soutiennent. Macron accepte-t-il de soutenir des nazis qui détruisent les cimetières juifs à coups de battes de baseball ? Accepte-t-il la croix gammée, gravée sur le ventre d’une femme torturée à mort ? Accepte-t-il le tortionnaire ukrainien Viktor Plotnikov avec à son actif 70 épisodes criminels, des meurtres, des viols et dont la maison semble un musée à la gloire de Hitler ?
https://twitter.com/LetItShine69/status/1510492519297126401
Comme dirait Zelensky, « Ils sont ce qu’ils sont. » :
L'antisémitisme sous le régime nazi en Ukraine.
Des UkroNazis détruisent des fosses communes et un monument aux victimes juives de l'Holocauste à Lysychansk, Ukraine, décembre 2021.
Il y a eu 800 juifs assassinés par les nazis et l'Armée insurrectionnelle ukrainienne. pic.twitter.com/HyTdtZNE9Z
— Marcel D. (@DubreuilhMarcel) March 10, 2022
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