Gabriel Attal déclare l’« État de Vigilance Maximale Mpox » : « Nous nous tenons prêts à tous les scénarios comme lors du COVID ! »

Accrochez-vous bien, le feuilleton sanitaire reprend de plus belle. Cette fois, c’est le variant Mpox qui fait son entrée sur scène, et Gabriel Attal, Premier ministre sur le départ, n’a pas perdu de temps pour déclencher l’« état de vigilance maximale » du système de santé français. Une mesure qui, soyons honnêtes, ressemble étrangement à ce que nous avons déjà vécu. Vous vous souvenez du dernier tour de manège ? Les hôpitaux débordés, les internes en sous-effectif, les vaccins par millions, et bien sûr, les confinements qui plombent l’économie. Eh bien, préparez-vous, car l’histoire semble se répéter !

Depuis le déclenchement de l’épidémie de #mpox en 2022, nous avons rigoureusement appliqué le triptyque : surveillance, diagnostic rapide, vaccination. Nous n’avons jamais baissé la garde.

Ainsi, ce sont 152 500 vaccinations qui ont été réalisées. La circulation du virus a été…

— Gabriel Attal (@GabrielAttal) August 16, 2024

Les ARS en première ligne : Informez, Recommandez, Surveillez !

Attal a donné des consignes strictes aux Agences Régionales de Santé : relayer les dernières informations, inonder les professionnels de santé de recommandations, et bien sûr, surveiller les voyageurs de retour des zones à risque. Depuis qu’Emmanuel Macron a donné les pleins pouvoirs à l’OMS pour la « santé » des Français lors des pandémies, nous voilà sous le joug de l’OMS pour restreindre nos libertés à son bon vouloir.

« Nous nous tenons prêts à tous les scénarios pour faire évoluer les consignes à la population en fonction de l’évolution du virus et maintenir ainsi le haut niveau de vigilance adopté depuis 2022. » Gabriel Attal

Les hôpitaux au bord de la rupture… Encore

Vous pensiez que les urgences en France ne pouvaient pas être pire ? Détrompez-vous. Le gouvernement, en bon scénariste du chaos, a encore une fois négligé de préparer nos hôpitaux à affronter une nouvelle crise. Rappelez-vous qu’à la rentrée, 1 510 postes d’internes en médecine ont disparu. Moins de médecins en formation, mais toujours autant de patients, et voilà qu’un nouveau virus se pointe ! Avec des services déjà au bord de la rupture, on se demande si le système de santé français ne va pas tout simplement imploser sous le poids de cette nouvelle pseudo crise.

Vaccins et confinements : La recette à Succès

Mais ne vous inquiétez pas, les laboratoires pharmaceutiques sont déjà sur le coup ! Après tout, un nouveau virus signifie de nouveaux vaccins à vendre, et des millions à empocher. Avec un timing aussi parfait, on se demande presque si tout cela n’était pas prévu. Et comme à chaque fois, ceux qui refuseront de se faire vacciner seront les nouveaux parias de la société, interdits de piscine, de restaurants, et pourquoi pas d’être cette fois-ci totalement confiné avec interdiction de sortir sous peine d’amende ou d’emprisonnement ?

En effet, le gouvernement n’hésitera pas à ressortir la bonne vieille méthode du confinement. Parce que, visiblement, rien ne résout mieux une crise sanitaire que de mettre l’économie à genoux et de confiner toute la population. Un scénario qui, entre nous, pourrait bien finir d’achever les petits commerces et la vie sociale des Français.

Un air de déjà-vu douloureux

Alors voilà, chers lecteurs, préparez-vous à revivre l’éternel cycle des crises sanitaires made in France : hôpitaux surchargés, internes en burn-out, vaccins qui pleuvent, et confinements à l’horizon. Le tout saupoudré de mesures liberticides pour ceux qui oseraient résister à la piqûre. Mais ne vous inquiétez pas, tout est sous contrôle… du moins, c’est ce que Gabriel Attal voudrait nous faire croire.