Les récents cas de viols sur des personnes âgées, notamment des femmes âgées de plus de 90 ans, choquent par leur barbarie. Malheureusement, les féministes semblent faire la sourde oreille face à ces crimes odieux, préférant souvent focaliser leur attention sur d’autres sujets.
L’exemple récent de l’affaire Gérard Miller, où un psychanalyste d’extrême gauche a été accusé de viols sous hypnose, met en lumière les incohérences dans le traitement médiatique et politique de ces crimes. Tandis que certains sujets sont largement médiatisés et condamnés, d’autres, comme les viols de personnes âgées par des individus sous OQTF, semblent être relégués au second plan.
Nous vous invitons à (re) lire notre article examinant les révélations sur les comportements (présumés) de Gérard Miller, qui ont secoué le monde médiatique et féministe, mettant en lumière un troublant deux poids deux mesures dans la manière dont ces affaires sont traitées.
Nous attirons votre attention sur la nécessité de faire une distinction claire entre deux catégories d’OQTF, à savoir celles émises pour des motifs criminels et celles attribuées à des étudiants ou travailleurs exemplaires. Il est primordial de ne pas amalgamer ces deux situations distinctes.
En effet, une OQTF émise en raison d’actes violents ou criminels diffère considérablement de celle imposée à une étudiante ou un étudiant respectueux des lois et des valeurs de la société. Cette distinction est essentielle pour garantir une approche juste et équitable dans le traitement de chaque cas.
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