
Quelques slogans dominent la scène du clip, dont No ableism (non à la discrimination des handicapés). Le chanteur Lucky Love n’a qu’un bras. Il n’a pas de voix non plus, mais cela passe au second plan. Or Beethoven, Art Tatum, Stevie Wonder, Ray Charles, qui étaient des handicapés, ne le mettaient pas en lumière. Avec Lucky Love le handicap est mis au premier plan devant la musique. La musique ne diffusant aucune émotion, il ne reste plus que le handicap pour exercer un chantage à l’émotion.
Les chanteurs woke assoient toute leur carrière sur leur engagement politique, au détriment de la musique, de la mélodie, des paroles. Les chanteurs engagés dans les années 60 étaient minoritaires. Avec la mitterrandienne Fête de la musique, les programmes woke des ministères des époux Macron, l’engagement personnel a laissé place à la propagande d’État.
00:00 Intro
02:36 Masculinity
11:24 Slogans
13:22 Handicap
26:46 Militantisme
30:52 Wokisme
Pas encore de commentaire sur "Etienne Guéreau : Les victoires de la musique et du wokisme"