Les Erreurs Stratégiques de Bachar al-Assad
L’un des facteurs déterminants dans cette crise réside dans les erreurs stratégiques accumulées par Bachar al-Assad. Contrairement aux conseils avisés de Machiavel, il a négligé de renforcer sa propre armée et de s’appuyer sur ses forces internes, affaiblissant ainsi considérablement la résilience de son régime face aux attaques extérieures. Cette situation a ouvert la voie à une perte de contrôle stratégique, laissant le champ libre à des acteurs externes.
Un Revers Majeur pour Moscou
Pour la Russie, la situation syrienne est un revers majeur. Si Moscou conserve sa précieuse base de Tartus, ce bastion symbolique ne suffit pas à compenser la perte de crédibilité de la Russie en tant que protecteur et garant politique de ses alliés. Cette fragilité perçue pourrait inciter des partenaires-clés, comme l’Arabie saoudite, à réévaluer leur confiance envers la Russie, compromettant ainsi son influence au Moyen-Orient.
La CIA en Pleine Action
Pendant ce temps, la CIA démontre une capacité impressionnante à orchestrer des coups d’État simultanés dans plusieurs régions du monde, notamment au Bangladesh, au Pakistan, en Roumanie, en Syrie et en Géorgie. Cette stratégie, menée avec une précision spectaculaire, reflète une puissance d’intervention toujours intacte, et pose de sérieuses questions sur l’équilibre des forces dans le monde.
Un Bouleversement Politique
Par ailleurs, le paradoxe de voir d’anciens terroristes recherchés par Washington, comme Al Joulani — pour la tête duquel les États-Unis offraient 10 millions de dollars en 2017 — accéder au pouvoir en Syrie, souligne la complexité et les contradictions de cette crise. Ce bouleversement reconfigure la carte politique de la région, tandis que l’armée israélienne se déploie stratégiquement pour exercer une pression directe sur Damas.
« Le coup brutal à l’infliuence russe ». Je ris. A peine un coup tordu parmi d’autres. Dommage! Tous ces discours, plutôt cette loggohrée, ne fait qu’activer le feu sous la lessiveuse à laver plus blanc que le blanc.
Incidemment, comme ça, les Russes ne se sont pas laisser avoir. Le bonbon était pourtant sous une belle papillotte. Mais non. Cela n’a pas pris. Pas de bol.