Contexte international explosif
Les manœuvres militaires chinoises autour de Taïwan, ordonnées par le président Xi Jinping sont considérées par Régis le Sommier comme une « préparation à la guerre ». La Chine, qui considère Taïwan comme une partie intégrante de son territoire, a intensifié ses démonstrations de force, déployant avions de chasse, drones, navires de guerre et groupes aéronavals autour de l’île autonome. Cette situation rappelle la crise des missiles de Cuba en 1962, où le monde a frôlé la guerre nucléaire.
Tensions avec la Corée du Nord et l’Iran
Parallèlement, la Corée du Nord a fait exploser des routes menant vers la Corée du Sud, rompant ainsi avec des décennies de coopération. De plus, Pyongyang fournit désormais des armes et des missiles à la Russie, en soutien à son intervention en Ukraine. L’Iran, quant à lui, est au centre de spéculations sur sa capacité nucléaire, avec des rumeurs selon lesquelles le pays posséderait déjà la bombe atomique. Les tensions entre Israël et l’Iran sont à leur comble, avec des plans de frappes israéliennes contre des installations nucléaires iraniennes ayant fuité dans la presse.
“Soit on s’arme du nucléaire, soit on entre dans l’Otan.”
Les réactions internationales ne manquent pas à cette menace de Zelensky. Le secrétaire général de l’OTAN, Mark Rutte, a réaffirmé que l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN reste un objectif. Les États-Unis, sous la présidence de Joe Biden, ont refusé à Zelensky l’usage d’armes à longue portée contre le territoire russe, mais ont autorisé leur utilisation uniquement en Ukraine. En 1994, l’Ukraine avait signé le mémorandum de Budapest, qui prévoyait le respect par la Russie de l’intégrité territoriale de l’Ukraine, en échange de son renoncement à l’arsenal nucléaire. Les experts nucléaires ukrainiens assurent qu’ils n’ont besoin que de quelques semaines pour réarmer nucléairement leur pays…
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