Ursula von der Leyen déclare qu’il est temps de penser à la vaccination obligatoire dans toute l’Europe

mise à jour le 03/12/21

La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a estimé que l’Union européenne devrait avoir dès maintenant une « discussion » sur la vaccination obligatoire, tout en soulignant qu’une telle décision relevait des Etats membres. Son argument pour convaincre est le suivant : « Environ un milliard de doses ont été livrées dans l’UE. Plus de 360 millions de doses de vaccins à ARNm seront livrées d’ici la fin du premier trimestre 2022. C’est suffisant pour que tous les Européens entièrement vaccinés puissent recevoir un rappel. Alors, allez-y. » Classiquement, un commerçant essaie de vous donner envie d’acheter et s’il est en flux tendu, il commandera la quantité désirée. A présent, c’est l’inverse. Le magasin a été livré. Vous n’avez pas besoin du produit, mais comme il faut liquider les stocks, il faut les acheter. De plus, les effets secondaires risquant d’être de plus en plus voyants, il devient prudent de se hâter.
Pourtant le programme d’Ursula von der Leyen était on ne peut plus clair, le même que celui du Forum économique mondial : « L’Europe doit conduire la transition vers une planète saine et un nouveau monde numérique. Mais elle n’y parviendra qu’en rassemblant et qu’en portant son modèle unique d’économie sociale de marché à la hauteur des nouvelles ambitions d’aujourd’hui. » Sa candidature a d’ailleurs été loin de faire l’unanimité (383 voix pour, 327 contre, 22 abstentions). La présentation de son programme se termine par « Quelle est notre conclusion? Espérer le mieux, se préparer au pire. » Là on veut bien la croire. En effet, le pire est arrivé : la collusion de deux multirécidivistes.

Qui est Ursula von der Leyen ?

Le peu d’enthousiasme qu’a soulevé sa candidature vient sans doute de son passé. Ministre de la Défense en Allemagne, elle avait laissé 100 millions d’euros s’égailler vers les poches de consultants, conseillers, copains et lobbyistes de marchands d’armes. Pour échapper aux poursuites, elle avait consciencieusement effacé les messages de ses deux téléphones portables avant de les remettre à la Justice.
Devenue présidente de la Commission européenne, elle a récidivé. Lorsque Pfizer a décidé d’augmenter le prix : de 15,5 à 19,50 euros la dose, Ursula a accepté sans mot dire. La médiatrice européenne, Emily O’Reilly, a donc ouvert une enquête. Et comme lors de l’enquête sur les marchands d’armes, les échanges d’appels téléphoniques et de messages entre Von der Leyen et Bourla ont été complètement effacés.

Ursula et Albert
Ursula et Albert

Qui est Pfizer ?

Pfizer, soit directement soit via ses filiales, en est à 4,661 milliards de dollars d’amendes pour publicité mensongère, charlatanisme, corruption de médecins et de fonctionnaires, la liste est longue. Idriss Aberkane en a fait la liste en détail dans la vidéo ci-dessous.

Qui possède Pfizer ?

Vanguard et BlackRock sont les plus gros actionnaires de Pfizer.  Vanguard est le principal actionnaire de BlackRock. Le site de Vanguard montre des photos de modestes actionnaires : femmes, enfants et retraités de toutes races, joyeux, insouciants. En réalité, ce sont les familles les plus riches du monde qui possèdent la majorité des fonds Vanguard : Rothschild, Du Pont, Morgan, Vanderbilt, Rockefeller, Orsini, Bush, la famille royale britannique. Ce sont eux qui veulent vous vacciner. Pour leur bien.

D’un pays à l’autre, la dictature sanitaire est en marche

Déjà certains pays ont rendu la vaccination obligatoire pour tous leurs habitants ou une grande partie de la population. On se demande bien pourquoi ils ne sont pas donnés en exemple. Il s’agit du Turkmenistan, du Tadjikistan, du Kazakhstan, du Zimbabwe et de l’Indonésie. Le Vatican, la Nouvelle-Calédonie, la Lettonie, la Hongrie sont plus médiatisés. Ils vont être rejoints par l’Autriche, l’Allemagne, l’Italie, la Grèce. Quant à la France, elle en prend le chemin. En tout cas politiques et médias s’y emploient.

Parfois Big Pharma recule

Roumanie, République tchèque et Croatie se passent de la « vaccination » covid de Big Pharma. En Roumanie les stocks sont exportés, les centres de vaccination fermés. La République Tchèque a déjà jeté 14 000 doses du vaccin d’AstraZeneca et prévoit la destruction de 45 000 doses. Quant aux Croates, selon leur président Milanović, ils ont été « suffisamment vaccinés » et devraient être autorisés à accepter les risques de contracter l’infection au covid. « Nous n’irons pas au-delà de 50 pour cent. » Curieusement ces décisions restent oubliées des médias.

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