Politique

L’Etat profond avait-il une dernière chance de se débarrasser de Trump ?

L'attaque contre Donald Trump, au cours de laquelle il a été blessé à l'oreille, a soulevé de nombreuses questions quant à la sécurité entourant l'événement. Le FBI a qualifié de « stupéfiant » le fait que l'agresseur ait pu tirer autant de fois, alors qu'aucune menace n'avait été signalée au préalable. Pourtant, des témoins affirment avoir aperçu une personne suspecte sur un toit peu avant l'attaque, mais leurs signalements ont été ignorés.

mise à jour le 15/07/24

L’attaque contre Trump révèle des failles de sécurité et des zones d’ombre dans l’enquête du FBI.

Les premiers éléments sur l’attaque contre Trump révèlent des failles dans la sécurité entourant l’événement. Selon le FBI, il n’y avait aucune information préalable sur une menace d’attentat. Cependant, cinq minutes avant l’attaque, des personnes dans le public avaient signalé à la police la présence d’une personne suspecte sur le toit, mais ces signalements ont été ignorés. Cette affirmation, qualifiée de « stupéfiante » par le FBI, soulève des questions quant à la réactivité des forces de l’ordre face à une menace potentielle.

Elon Musk a exprimé ses doutes sur X : « Incompétence extrême ou c’était délibéré. »


La théorie officielle avancée par les autorités est que le tireur, un jeune homme de 20 ans nommé Thomas Matthew Crooks, a agi seul après avoir subtilisé le fusil d’assaut semi-automatique de son père. On image aisément qu’il va dans les tous prochains jours être présenté par les médias comme une victime de harcèlement scolaire et qu’il a voulu débarrasser le monde du prochain Hitler.


Demandons-nous également comment les enquêteurs peuvent affirmer que le tireur a agi seul s’ils ne peuvent pas accéder à son téléphone ? En effet, le FBI cherche désespérément le mot de passe du smartphone du tireur…


Cette tentative d’assassinat a suscité des réactions internationales. L’ex-président russe Dmitri Medvedev a ainsi déclaré sur Twitter que « Trump a déjà gagné » l’élection présidentielle, ajoutant « s’il n’est pas assassiné ». Cette déclaration intervient alors que l’État profond n’avait plus qu’une seule chance de se débarrasser de Trump, après la catastrophe du débat Biden-Trump et les poursuites judiciaires. Une nouvelle tentative d’assassinat serait sans doute un peu trop visible…


Cette attaque contre Trump soulève donc de nombreuses questions et laisse des zones d’ombre. Les autorités doivent maintenant trouver des raisons officielles sur les failles de sécurité qui ont permis à un tireur de s’approcher aussi près du président, ainsi que sur les raisons pour lesquelles les signalements de personnes suspectes ont été ignorés. Quand on voit les unes américaines au lendemain de l’attaque, on se dit que la vérité a encore beaucoup de chemin à parcourir…

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