Au-delà d’être le « groupe témoin » gênant pour l’industrie pharmaceutique — et qui énerve notre président — les non-vaccinés sont une chance pendant cette épidémie. La raison est qu’ils sont les acteurs principaux de l’« immunité de groupe » via leur immunité innée, ce que les vaccinés ne sont plus depuis l’injection. Selon le vaccinologue Geert Vanden Bossche, « l’immunité innée est un facteur, un pilier crucial pour l’immunité de groupe. Donc, on commence maintenant à vacciner — et pas uniquement les enfants. On va donc diminuer le réservoir d’individus qui peuvent contribuer à l’immunité de groupe en les vaccinant. Les non-vaccinés — et surtout les enfants — sont les aspirateurs de la pandémie ».
Le non-vacciné est désigné comme un pestiféré par Macron — lequel répète ce que lui souffle à l’oreille le cabinet McKinsey, dont le directeur associé en France est le fils de Laurent Fabius, « président du Conseil Constitutionnel ». Vous l’aurez compris, un braquage, ça s’organise. En réalité, le non-vacciné est celui qui contribue le plus à sortir de la « pandémie ». Évidemment il restera l’ennemi des laboratoires pharmaceutiques qui voudraient voir aussi les enfants se faire injecter. On vous laisse deviner pourquoi ils veulent absolument vacciner des enfants dont aucun ne meurt du covid…
Le Média en 4-4-2