L’imagination au pouvoir
Pendant la vague de mars, c’était le morbide décompte journalier des décès, puis en octobre des « cas » (sur tests non fiables avec 97 % de faux positifs) et actuellement faute de malades et même de testés positifs, on agite le « variant » anglais dont rien ne prouve la dangerosité ! Nos dirigeants acceptent l’idée, enfin, que les virus mutent, comme le Pr Raoult l’a expliqué à la France entière depuis des mois. Si à chaque mutant, c’est la panique, notre économie sera morte dans l’année, comme le plan Davos le souhaite et l’organise depuis des années sous le prétexte de cette pseudo peste qui n’a pas tué plus que bien d’autres grippes des années passées.
Le scénario actuel et la réalité
Depuis plusieurs semaines, gouvernement et médias complices agitent à nouveau la peur pour faire accepter des couvre-feux, sans aucun intérêt sanitaire réel [1]. Ils prétendent que le Covid-19 revient plus méchant que jamais, revigoré par une mutation anglaise ou sud-africaine[2]. Ils affichent, pour nous convaincre, un nombre croissant de « cas » PCR positifs dont même l’OMS reconnaît la non-fiabilité [3] [4] [5] et les inconvénients [6]. Or les « cas » ne sont majoritairement ni des malades, ni des contagieux, ni des porteurs de virus et ne témoignent donc pas de la réalité de l’épidémie, mais principalement du nombre de tests réalisés et du nombre de séances d’amplifications pratiquées. Une épidémie ne se mesure qu’au nombre de malades, d’individus qui souffrent de symptômes et qui consultent leur médecin pour un diagnostic ou un traitement.
Lire la suite de l’artcile : Réseau Sentinelle, SOS médecins, Urgences ne voient plus de Covid19. Stop couvre-feu !