« On a pris cinq semaines pour nous envoyer de l’oxygène et deux jours pour nous envoyer le GIGN. »
Jean-Philippe Nilor, sur la situation aux Antilles : « On a pris cinq semaines pour nous envoyer de l’oxygène et deux jours pour nous envoyer le GIGN. »
> « Vous avez laissé pourrir la situation pour qu’on serve d’exemple. »
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