Interview de Pascal Davoz, candidat aux élections législatives 2022 sous la bannière « Ensemble Pour les Libertés » de Martine Wonner

mise à jour le 05/06/22

Quatrième interview d’un citoyen candidat aux élections législatives 2022. Place à Pascal Davoz qui, après avoir été musicien et scénariste, se lance sur le terrain politique à l’occasion de cette échéance électorale dans la 1re circonscription de Loire-Atlantique. Et il est soutenu par Martine Wonner en personne…


Le Média en 4-4-2 : Bonjour Pascal, et merci d’avoir accepté l’invitation du Média en 4-4-2. Pouvez-vous vous présenter en 4-4-2, c’est-à-dire de manière concise et efficace ?

Pascal Davoz : Musicien, révolté par le délire ambiant, scénariste et désobéissant de la première heure (et jusqu’à la dernière) aux ordres pervers.
Candidat aux élections législatives sous la bannière EPL, « Ensemble Pour les Libertés », mouvement fondé par Martine Wonner, rare députée à avoir oser se lever pour dénoncer scandales et manipulations.

Le Média en 4-4-2 : Quelles sont vos motivations pour vous présenter aux élections législatives ?

Pascal Davoz : I have a dream. Plus sérieusement, je suis né en France, pas en Corée du Nord ni en Chine communiste… Alors, c’est quoi ces enfants pris en otages et maltraités par des adultes apeurés ? Depuis quand sacrifie-t-on l’enfance au profit des plus vieux ? Ces muselages d’enfants pour une affection qui ne les concerne pas sont honteux. Ils servent à l’idéologie que quelques partisans politiques. Pourquoi ces soignants suspendus ? Ces obligations vaccinales ? Ces faillites en pagaille suite à des fermetures administratives débiles et totalement inutiles d’un point de vue scientifique… Il est hélas devenu de bon ton de ne plus écouter les compétences non corrompues. Il faut savoir dire stop. Stop.

Le Média en 4-4-2 : Le 19 juin prochain, vous êtes élu député de votre circonscription ; quelles seront vos premières actions ?

Pascal Davoz
: Défendre les libertés fondamentales. C’est pas gagné y’a du taf. L’écoute des besoins des plus faibles, des plus persécutés est un devoir humain. (Car oui, une partie de notre population est persécutée, c’est une évidence, même si on a la chance d’être soi-même à l’abri ou protégé.) Cela dit, qui est l’abri, réellement, des décisions arbitraires d’un gouvernement qui nous a placés en état d’urgence ? Cet état signifie la fin de la démocratie, c’est factuel. Ordonnances, décrets, 49.3, tout passe en force, et surtout l’immoral. Mais tout ce qui est immoral est illégal. Et c’est là le travail de l’assemblée nationale : vérifier la légalité des actions du gouvernement. Ce travail, ce devoir, cette fonction, pour le moment n’existent plus.

Le Média en 4-4-2 : Certains députés nouvellement élus en 2017 se sont déclarés déçus par leur fonction, estimant que l’Assemblée nationale est devenue « une chambre d’enregistrement de décisions élaborées ailleurs ». Est-ce également votre avis ?

Pascal Davoz
: Pas qu’un peu… C’est abuser là… Le gouverne-ment. Il sert l’idéologie mondialiste qui, non contente d’être non viable dans le temps, est hélas devenue perverse.

Le Média en 4-4-2 : Merci Pascal de nous avoir accordé de votre temps ! Nous vous laissons le mot de la fin.

Pascal Davoz : Ce n’est qu’un début. Mais unis, on ne peut pas perdre.

Retrouvez Pascal Davoz sur sa page Facebook.

 

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