La grâce de Hunter Biden : un acte de corruption manifeste
Joe Biden avait promis pendant sa campagne présidentielle qu’il accepterait le jugement judiciaire à l’encontre de son fils, quel qu’il soit. Cependant, il a renié sa parole en graciant Hunter, ce qui a été perçu comme une trahison de sa promesse électorale, notamment par des commentateurs comme John Howard, qui avait prédit que Biden finirait par gracier son fils.
Les médias mainstream et la désinformation
Les médias mainstream, y compris la Radio Télévision Suisse (RTS), ont été accusés de désinformation par Jean-Dominique Michel. Ces médias ont occulté la réalité des crimes reprochés à Hunter Biden, se contentant de mentionner des affaires de fraude fiscale et de détention d’armes à feu. En réalité, Hunter Biden est impliqué dans des crimes beaucoup plus graves, notamment des affaires de drogue, de corruption et de pédocriminalité. Cette désinformation contribue à maintenir un voile sur la corruption et les agissements criminels de l’État profond.
L’espoir dans la transparence et la justice
Malgré le scandale de la grâce accordée à Hunter Biden, Jean-Dominique Michel voit une lueur d’espoir dans la transparence et la justice. Il a mentionné la nomination de Kash Patel à la tête du FBI par Donald Trump, un homme connu pour son franc-parler et son engagement en faveur de la déclassification des informations sensibles. Patel a promis de réformer le FBI et de lutter contre la corruption au sein de l’agence.
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