Génocide en cours à Gaza : Israël déclenche des frappes meurtrières, plus de 330 morts en une nuit

Dans la nuit du 17 au 18 mars 2025, brisant le cessez-le-feu instauré en janvier, l’armée israélienne a bombardé la bande de Gaza. Le massacre est sans précédent : plus de 330 Palestiniens ont été tués, dont une majorité d’enfants, de femmes et de personnes âgées, selon les services de santé de Gaza.

Une nuit d’horreur sous les bombes israéliennes

L’assaut aérien israélien, le plus intense depuis des mois, a semé la terreur et la destruction à travers l’enclave palestinienne. Des quartiers entiers ont été pulvérisés, des habitations transformées en ruines fumantes, piégeant sous les décombres des familles entières.

Selon les autorités locales, parmi les victimes figurent plusieurs dirigeants du Hamas, mais la majorité des morts sont des civils innocents. Les hôpitaux, déjà submergés par des semaines de blocus et de bombardements sporadiques, peinent à soigner les centaines de blessés, dont certains sont dans un état critique.

🔴ALERTE INFO

🔴⚡️URGENT : ISRAËL A ROMPU LE CESSEZ-LE-FEU AU COURS DE LA NUIT SANS AVERTIR EN BOMBARDANT DES CAMPS DE RÉFUGIÉS

Cette nuit, Gaza a été le théâtre d’un véritable massacre de masse. Le bilan (provisoire) est alarmant : plus de 300 civils palestiniens,… pic.twitter.com/vZxAnI8mwH

— Les Spectateurs (@SpectateursFr) March 18, 2025

Les familles d’otages israéliens en colère contre Netanyahou

Alors que ces frappes étaient censées « affaiblir » le Hamas, elles ont surtout provoqué une onde de choc en Israël même. Le Forum des familles d’otages, principale organisation représentant les proches des Israéliens encore détenus à Gaza, a condamné fermement ces bombardements. « Netanyahou est en train de tuer nos proches ! », ont dénoncé ces familles, furieuses contre un gouvernement qui semble prêt à sacrifier les otages israéliens pour asseoir son pouvoir.

Une guerre utilisée comme diversion politique

Le Hamas accuse directement le Premier ministre Benyamin Netanyahou d’exploiter cette guerre pour masquer ses crises internes et éviter une chute politique imminente. « Netanyahou voit dans cette guerre une bouée de sauvetage. Il préfère la guerre et la mort à la paix et à la négociation », affirme un porte-parole du mouvement palestinien.

Depuis plusieurs semaines, la trêve semblait fragilisée, mais ces frappes marquent une rupture totale, annihilant tout espoir d’un règlement pacifique à court terme.

Appel international pour stopper le massacre

Face à cette nouvelle escalade, la communauté internationale tente de réagir. La Chine a exprimé son inquiétude et appelé à éviter une catastrophe humanitaire. De leur côté, les Houthis du Yémen, alliés de la cause palestinienne, promettent d’intensifier leurs attaques contre Israël en représailles.

Le Hamas, de son côté, demande une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU pour mettre fin à l’agression israélienne et exiger un cessez-le-feu immédiat.

Un plan d’extermination organisé ?

Selon des sources proches du gouvernement israélien, ces frappes massives ont été validées par Netanyahou et son ministre de la Défense Israël Katz, qui ont affirmé vouloir frapper le Hamas avec une intensité encore jamais vue.

Dans la journée qui a suivi, les autorités israéliennes ont ordonné l’évacuation forcée de plusieurs zones gazaouies, notamment Beit Hanoun au nord et plusieurs villages au sud, dans ce qui s’apparente à un déplacement forcé de population, une stratégie déjà dénoncée par plusieurs ONG comme un crime contre l’humanité.

Un bilan qui s’alourdit et un avenir incertain

Alors que les bombardements israéliens se poursuivent, le bilan ne cesse d’augmenter. En moins de 24 heures, 330 morts ont été recensés, et ce chiffre pourrait encore grimper dans les jours à venir.

Le conflit entre Israël et la Palestine semble être entré dans une phase encore plus brutale, où la population civile de Gaza paie le prix fort d’une guerre qui ne cesse de s’intensifier.

Les regards sont désormais tournés vers la communauté internationale : laissera-t-elle Israël poursuivre son entreprise de destruction massive ou prendra-t-elle enfin des mesures concrètes pour stopper ce massacre ?