Tout doit disparaître, c’est ce que l’on annonce avant une cessation d’activité ou bien à la Foir’fouille au moment de liquider les stocks de choses inutiles qui prennent de la place dans l’arrière-boutique. C’est exactement ce qui se passe avec le vaccin AstraZeneca, qui a une efficacité largement inférieure à deux gouttes de citron.
Evidemment, l’Afrique du Sud cherche les pigeons qui voudront bien refiler cette merde à leur population et continuer la mascarade mondiale. Aujourd’hui un vaccin ça vaut un pantalon à une jambe, c’est fait pour acheter et vendre… comme nous le rappelle très bien Jacques Attali !
L’Afrique du Sud s’est dite prête, mercredi 10 février, à revendre ou échanger un million de doses du vaccin AstraZeneca, qu’elle a abandonné au profit de celui de Johnson & Johnson après que son efficacité sur le variant local du coronavirus a été mise en doute.
Dimanche, les autorités avaient suspendu le programme de vaccination qui devait débuter les jours suivants avec le vaccin AstraZeneca/Oxford, après une étude révélant notamment une efficacité « limitée » contre le nouveau variant sud-africain du virus, baptisé 501Y.V2.
Selon les premiers résultats de cette étude de l’université sud-africaine du Witwatersrand à Johannesburg, le vaccin d’AstraZeneca/Oxford est efficace à seulement 22 % contre les formes modérées du variant sud-africain. Aucun résultat n’est encore disponible sur son efficacité contre les formes graves.