AstraZeneca : malgré les risques de thrombose, Dominique Le Guludec recommande le vaccin

mise à jour le 27/03/21

Dominique Le Guludec

Stupéfiant : alors que les cas de thromboses post-vaccinatoires (avec AstraZeneca), surtout chez des sujets relativement jeunes, se multiplient (on en est à six, et déjà un mort de 24 ans), la présidente de la Haute Autorité de santé, Dominique Le Guludec, qui considère d’un côté qu’il y a « suffisamment de cas pour qu’on s’alerte », recommande de l’autre la reprise de la vaccination AstraZeneca pour les personnes de plus de 55 ans !

« Il a été observé un type de pathologies très particulières »

« Il a été observé un type de pathologies très particulières. Ce ne sont pas des embolies pulmonaires, ce ne sont pas phlébites, ce ne sont pas des infarctus. C’est une maladie de la coagulation très particulière qui nous a amené à nous pencher sur l’utilisation de ce vaccin. Nous l’avions ouvert aux plus de 65 ans et là, en attendant plus d’informations sur la nature de ces accidents qui sont rares mais graves, nous préférons limiter à 55 ans. »

« Les personnes concernées par ces cas de thromboses sont plutôt des gens jeunes et c’est ça qui nous alerte. Comme on vaccine essentiellement les gens âgés, il y a peu de gens jeunes encore qui ont reçu ce vaccin. Donc nous avons encore besoin d’éclaircissements supplémentaires. »

Les personnes de moins de 55 ans ayant reçu une première dose d’AstraZeneca attendent de savoir si elles vont recevoir une deuxième dose de ce vaccin. « C’est en cours de réflexion. On a du temps pour répondre parce que la deuxième dose se fait au troisième mois. Et pour rassurer les Français, je dirais que plus on attend plus ce vaccin est efficace », a déclaré Dominique Le Guludec. 

Il faut absolument passer par-dessus le risque et vacciner quand même

On a donc l’impression, malgré des effets secondaires dangereux, car la thrombose est une pathologie grave (formation de caillots de sang dans les veines), qu’il faut absolument passer par-dessus le risque et vacciner quand même. La moindre des choses, dans la logique du principe de précaution gouvernemental qui a souvent été exagéré pour des raisons politico-économiques (le profit des labos qui influencent le gouvernement, pour ne pas dire le corrompent), ce serait d’attendre avant de vacciner !

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