Sofia Benharira, 17 ans, élève au lycée Valabre de Luynes-Gardanne (13), est décédée le 21 septembre de thrombose, sept jours après une « vaccination » Pfizer, dans l’indifférence générale. Pas un mot dans les journaux locaux et nationaux. Les obsèques ont eu lieu lundi 27 septembre, selon les rites chrétien et musulman. Après l’autopsie, la famille n’a pas obtenu d’explication précise de la part du médecin légiste. Les rares témoignages font allusion à la vaccination. Le malaise est grand… à la mesure du scandale.
Sonia, tante et marraine de Sofia, déclare au micro du média Vecu — venu à la demande de la famille — à la sortie de l’église : « Sofia était pleine de vie. Elle voulait devenir puéricultrice. Elle était à sa dernière année de bac. Malheureusement elle nous a quittés. Lundi matin elle a fait un malaise à son lycée. Le lycée a appelé les pompiers qui l’ont transportée en urgence à l’hôpital d’Aix-en-Provence. Elle a fait une crise cardiaque et elle est morte à six heures du matin le mardi. Nous, la famille, on a demandé une autopsie, parce qu’une jeune fille de dix-sept ans en pleine santé, décéder comme ça subitement, non… Non, elle n’était pas malade, ma Sofia. Et ce que révèle l’autopsie aujourd’hui, c’est une embolie pulmonaire massive inexpliquée. Voilà. On ne peut pas en dire plus. On ne sait pas. C’est ce que nous a donné comme élément le procureur de la République. Donc, aujourd’hui, on reste là-dessus, mais nous continuerons nos recherches pour vraiment trouver la cause de cette thrombose pulmonaire. C’est tout ce que j’ai à dire. Ce qu’il faut aussi, c’est que les parents soient vigilants envers leurs jeunes enfants, parce que c’est arrivé à moi et c’est réel. Donc ça peut arriver à n’importe qui. Les parents, prenez soin de vos enfants. Faites attention, réfléchissez. C’est tout ce que j’ai à dire. »
Une autre tante de Sofia dans le cortège funéraire : « Il faut que cela soit su internationalement que des enfants qui étudient pour être infirmières, sages-femmes, dans le milieu médical, on les a obligés à se faire vacciner pour pouvoir faire un stage. Bien entendu, elle était mineure. Pour pouvoir faire ses études, il fallait l’accord des parents, elle s’est faite vacciner comme tout le monde. Maintenant il ce qu’il reste à faire : qu’on trouve des traces, que justice soit faite, pour savoir si ce vaccin n’est pas un poison. Ils sont trop jeunes encore. Je ne sais pas quels sont les bénéfices, mais le risque, je l’ai devant moi, c’est le résultat peut-être — je parle avec toute réserve — de sa deuxième injection. »
Les messages personnels sur le site des pompes funèbres rendent hommage à Sofia :
« Les circonstances de sa mort liées et reliées aux injections expérimentales me touchent d’autant plus et m’incitent à vous témoigner mon soutien en ce douloureux et tragique moment de deuil. Je n’ai pas de mots pour exprimer ce que je ressens mais je sais que Sofia Benharira, une fille si jeune qui décède, alors qu’elle avait un avenir qui se profilait devant elle, est une vie arrachée trop tôt à sa famille et à ses amis. »
« Le gouvernement démoniaque, satanique et criminel ne s’arrêtera pas là malheureusement. Cette ignoble injection doit être stoppée pour le bien de l’humanité. Aucun enfant, aucun ado ne devrait décéder comme ça, dans une telle injustice. Prions pour l’humanité. Prions pour un grand réveil. Sauvons nos enfants. »
« Je suis très touchée et choquée même si je ne connais pas votre famille. Je suis infirmière libérale, active et révoltée contre cette politique de vaccination. Je viens vers vous en tant que Maman. Vous n êtes pas seuls. Je sais que le collectif de soignants donc je fais partie s’est mis en contact avec vous et je sais qu’ils vous aideront. »
Jacqueline pour Le Média en 4-4-2