Nous ne pouvons que souligner le courage, l’abnégation et la détermination de cette femme, qui aujourd’hui en tant que représentante Française au sein de l’UE, doit se sentir un peu seule sans le travail sur le même thème de la regrettée Michele Rivasi.
L’affaire tourne autour de ces contrats Pfizer caviardés et de leurs clauses de non-responsabilité, le tout enrobé d’un arrangement par SMS entre Ursula von der Leyen et le PDG de Pfizer, Albert Bourla, pour un montant pharaonique de 71 milliards d’euros…
Quand on observe le petit truc bicolore accroché sur le retour de veste de madame le procureur répondant aux remarques de Virginie Joron, on voit que l’on ne part pas forcément gagnant niveau impartialité…
Bref, gardons confiance, l’affaire est en cours !
Et ici la version simplifiée de la corruption systémique en moins de deux minutes toujours par Virginie Joron :
Retrouvez Virginie Joron sur Le Média en 4-4-2.
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