Politique internationale

Trump accusé d’agression à 12 jours des élections : 31 ans après, une mannequin pro-Kamala Harris refait surface

Trump est accusé d’agression sexuelle par une mannequin pro-Harris… à moins de deux semaines des élections ! Fausse accusation ou stratégie politique ?

mise à jour le 24/10/24

Trump accusé d’une main aux fesses 31 ans après ! Le timing avant les élections soulève des doutes…

Accusations tardives… ou manœuvre électorale ?

À moins de 12 jours des élections présidentielles américaines, une nouvelle tempête médiatique secoue la campagne de Donald Trump. Stacey Williams, une ancienne mannequin désormais fervente supportrice de Kamala Harris, vient de « révéler » que l’ancien président aurait eu des gestes déplacés… en 1993. Oui, il a fallu attendre 31 ans pour que cette histoire refasse surface. Une coïncidence, vous dites ? Bien sûr, juste au moment où Trump pourrait regagner la Maison Blanche.

Une agression présumée datant de 1993

Selon Williams, l’incident aurait eu lieu à la fin de l’hiver ou au début du printemps 1993, lors d’une rencontre organisée par Jeffrey Epstein. Trump, alors magnat de l’immobilier, aurait « baladé ses mains » sur ses fesses, sa taille et sa poitrine. Stacey Williams explique qu’elle était « profondément troublée » par cette agression présumée.

Un timing suspect : juste avant l’élection

Alors que Williams n’a déposé aucune plainte formelle, ces accusations font grand bruit à deux semaines du vote. Cerise sur le gâteau : elle a fait ces révélations lors d’une réunion en ligne avec un groupe appelé “Survivors for Kamala”, qui soutient évidemment la candidate démocrate. Une petite coïncidence de plus pour la route : Stacey Williams travaillait à l’époque pour la collecte de fonds Clean Tech for Obama en 2008. Le contexte et la proximité politique de Stacey Williams, aujourd’hui âgée de 56 ans, avec le camp démocrate, suscitent des interrogations sur la sincérité de ces allégations.

Trump, victime d’une campagne de dénigrement ?

L’équipe de campagne de Donald Trump n’a pas tardé à réagir. Karoline Leavitt, sa porte-parole, a qualifié ces accusations de « fausses » et a accusé la campagne de Kamala Harris de manipuler cette histoire pour nuire à Trump. Une stratégie vieille comme le monde : rien de tel qu’une « bombe » médiatique pour ébranler un candidat à la présidentielle.

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