Situation judiciaire complexe
Révoqué de son poste de pharmacien et responsable de la pharmacovigilance de l’hôpital de Cholet, Amine Umlil attend toujours l’audience du tribunal administratif. Il a révélé que, depuis son témoignage sur les « vaccins » à l’Assemblée le 8 avril et le 24 mai 2022 au Sénat, des pressions répétées de la part d’Olivier Véran et Agnès Buzin, ministres de la Santé, ont conduit à sa révocation. De plus, il a été poursuivi par l’Ordre des pharmaciens sans respect des procédures, ce qui a entraîné une interdiction temporaire de trois ans.
Engagement pour la pharmacovigilance
Amine Umlil a souligné l’importance de la pharmacovigilance, un domaine qu’il juge crucial mais souvent négligé. Il a critiqué la criminalisation du devoir d’information et d’alerte, affirmant que cela a conduit à des conséquences graves, notamment en ce qui concerne les effets indésirables des vaccins. Il a rappelé que des troubles cardiaques comme les myocardites et les péricardites ont été identifiés dès 2021, mais que ces informations n’ont pas été prises en compte.
Initiatives pédagogiques
Pour pallier le manque d’information et d’éducation du public, Amine Umlil a lancé une série de conférences et d’ateliers pratiques. Ces sessions, accessibles à tous sans nécessiter de diplôme, visent à transmettre des connaissances complexes de manière simple et compréhensible. Il espère ainsi rendre le public plus autonome et critique face aux informations sur les produits de santé. Les retours positifs de ses premières conférences montrent que son approche pédagogique est bien accueillie.
Pas encore de commentaire sur "Santé publique en péril : Le combat judiciaire et pédagogique d’Amine Umlil"