La zone en question, divisée entre les grandes puissances par le traité de l’Antarctique de 1959, interdit l’installation de bases militaires, minières ou pétrolières. Cependant, cette découverte pourrait relancer les tensions géopolitiques, notamment entre la Russie, le Royaume-Uni, la Chine et les États-Unis, tous intéressés par l’exploitation des ressources naturelles de l’Antarctique.
Bien que l’exploitation de cette réserve de pétrole soit actuellement très compliquée en raison des conditions climatiques extrêmes et de l’absence d’infrastructures, les progrès technologiques pourraient faciliter son extraction à l’avenir. Cette perspective ouvre la voie à de nouveaux conflits et à un partage des richesses qui pourrait profondément changer la face du monde.
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