L’objectif de cette opération reste flou. Certains y voient une tentative de négociation, d’autres une manœuvre pour mobiliser les forces russes ailleurs. Cependant, l’incursion a déjà coûté la vie à près de 6 000 personnes, selon le ministère de la Défense russe. Caroline Galacteros critique la couverture médiatique de l’événement, accusant certains médias de mensonges criminels et de propagande.
L’analyste met en lumière les motivations des donneurs d’ordre de l’Ukraine, qui chercheraient à pousser la Russie à la faute, notamment à une réponse nucléaire. Elle évoque également la possibilité d’opérations sous faux drapeau pour justifier une intervention plus directe de l’OTAN.
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