Le Conseil d’Etat vient de rejeter le recours des patrons de discothèques qui souhaitaient rouvrir le 30 juin

mise à jour le 30/05/21

Discothèques

Au début de la pandémie, la fermeture s’est imposée, comme une évidence : proximité, brassage de population, transpiration et expectoration sont en effet le lot de ces établissements. Mais les exploitants soulignent leur capacité d’adaptation aux protocoles sanitaires. Et ils mettent en avant leur rôle social pour une population en quête de rencontres et d’insouciance.

Début 2020 il y avait deux fois moins de discothèques qu’il y a trente ans

Avant la pandémie, les discothèques subissaient déjà une crise : le streaming permet d’écouter toutes les musiques en restant chez soi. Et les applications dédiées permettent des rencontres aussi faciles (voire plus) que sur les pistes de danse.  Résultat : il y avait début 2020 deux fois moins de discothèques qu’il y a trente ans.

L’épidémie aurait donc accéléré le mouvement, contraignant à la fermeture au moins 150 des 1 600 discothèques françaises. Quelques dizaines d’autres sont soit en procédure de sauvegarde, soit en redressement judiciaire. Le secteur emploie 42 000 personnes.

Et malgré les aides de l’État, qui a mis en place un fonds de solidarité, la santé de beaucoup d’établissements est plus que vacillante.

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