Certains professionnels, au sein des compagnies aériennes françaises, avaient conscience du contexte psycho-social très inhabituel en 2020. Entre eux, une coalition s’est alors constituée dès Juillet 2021 suite à l’annonce inique (1), disproportionnée (2) et illégale (3) du Président de la République quant à l’obligation vaccinale pour certaines professions, le personnel navigant y étant fortement incité, pour ne pas dire contraint dans certains cas, pour continuer à travailler. Pour la France, le personnel navigant représente environ 24.000 personnes toutes compagnies confondues.
Au niveau national, le collectif a permis :
- La création du site internet , autour duquel gravite aussi une communication avec les réseaux comme Telegram et Twitter.
- Tous les députés et sénateurs ont été sollicités par courriel par les Navigants Libres. Force était de constater qu’un nombre infime n’a daigné répondre à leurs interrogations bien légitimes.
Ces élus n’ont en majorité pas travaillé ce dossier Covid, ils n’ont fait que suivre les directives venant d’un discours unilatéral depuis un axe vertical hiérarchiquement supérieur. Quelques rares personnalités politiques ont écouté les revendications du personnel naviguant comme par exemple Martine Wonner, Nicolas Dupont-Aignan et Alain Houpert, ceux-là même remettant au débat le narratif officiel.
- Plusieurs recours juridiques jusqu’au Conseil d’État ont été lancés avec Maitre Diane Protat(4) en charge de leurs dossiers contre ces obligations vaccinales. Comme pour toutes ces actions juridiques lancées par les différents collectifs affectés par cette situation : patience et détermination sont requises devant le silence ou l’inaction en retour !
- Ils engagent aussi un parcours du combattant envers les différents organismes gérant la sécurité aérienne pour avoir accepté cette situation discriminante à fort potentiel délétère. En effet, ces institutions ont pour objectif de veiller au respect de la réglementation en matière de sécurité aérienne, et notamment des licences médicales du personnel navigant, l’élément d’ordre étant la protection des passagers.
A ce titre, il y a une règle fondamentale dans le métier qui a été bafouée : aucun produit médical expérimental ne doit être pris par les navigants. Pourquoi alors ces derniers se retrouvent contraints à le faire en 2021 sous peine de perdre leur emploi ? (fin des essais cliniques officiels entre 2022 et 2024 suivant les fabricants).
- Un courrier officiel avec huissier de Justice, documenté, sourcé et précis, a été rédigé et envoyé aux responsables : aucune réponse en retour.
- L’étape suivante est donc l’attaque en Justice.
La démarche avec leur analyse professionnelle F.O.R.D.E.C. (Faits, Options, Risques/bénéfices, Décision, Exécution, Contrôle)
Je cite le site :
« L’injection étant un acte irréversible, il est primordial de prendre le temps d’analyser rigoureusement ces deux options pour faire un choix intelligent et réfléchi. Nous proposons ici de réaliser une analyse de type « F.O.R.D.E.C. », comme on apprend à le faire dans l’aviation civile. »
L’analyse type F.O.R.D.E.C. ci-après : https://navigantslibres.fr/?p=vaccins
Les témoignages de ces professionnel(le)s de l’aviation ayant des effets indésirables suite à vaccination
Tout le monde est impacté, Pilote, Commandant de Bord, Steward, Hôtesse, voici quelques-uns de leurs récits à lire : https://navigantslibres.fr/?p=temoin
Ci-après, Laëtitia, Hôtesse de l’air, victime d’effets secondaires où, en août 2021, une semaine plus tard après sa deuxième injection, elle se retrouve avec dix-huit jours de ménorragie, perdant une forte quantité de sang. On reconnaitra à sa gauche l’avocate Diane Protat qui a pris en charge le collectif « Navigants Libres » (et aussi celui dédié aux dérèglements des menstruations féminines « Où est mon cycle » ).
Un soutien typé communication aux Navigants Libres est possible
L’achat de porte-clé peut se faire via le site.
Au niveau international, les liens entre collectifs se sont créés
Les Navigants Libres se sont rattachés à une coalition internationale du personnel navigant soumis à cette coercition socio-professionnelle, via un site dédié. Ce regroupement international est sous le nom de « GAAC » pour « Global Aviation Advocacy Coalition ». C’est l’idée d’un pilote Canadien qui souhaitait réunir les collectifs nationaux existants avec entre autres les Canadiens, Américains, Suisses, Anglais, Hollandais, Australiens et Français.
Le sigle identifiant les Navigants Libres est sur la gauche de la page de présentation internationale ci-après (l’oiseau entre l’avion noir et UK Freedom Flyers).
Frantz pour Le Média en 4-4-2
(1) Ostracisme des personnes refusant l’acte médical
(2) Un vaccin expérimental était-il nécessaire en regard des chiffres officiels comme avec ceux de l’INSEE (Institut national de la statistique et des études économiques) ou encore le bilan de l’ATIH 2021 (Agence technique de l’information sur l’hospitalisation) ?
(3) Le Droit National avec à minima : Art. L. 1110-4 du code de la santé publique pour le Secret médical et Art. L. 1132-1 à L. 1132-4 pour le Principe de non-discrimination
(4) Des femmes prennent publiquement la parole malgré la pression professionnelle, les tabous ou une volonté de passer outre, « d’oublier » pour d’autres personnes.