Pfizer avoue n’avoir fait aucun test sur l’arrêt de la transmission du covid grâce au vaccin : « Nous avons pris de gros risques »

Le 10 octobre, face aux questions des eurodéputés, Pfizer s’est montré évasif concernant les contrats d’achat de vaccins et les textos échangés entre le laboratoire et Ursula von der Leyen.

mise à jour le 26/12/22

Alors qu’une audition sur les vaccins était organisée au Parlement Européen le 10 octobre 2022, le PDG de Pfizer, Albert Bourla, a refusé d’être présent. Janine Small, présidente des marchés  internationaux, l’a remplacé. Elle a admis qu’aucun test sur l’arrêt de la transmission du covid n’a été réalisé sur les vaccins avant la mise sur le marché. Elle a avoué : « Nous avons pris de gros risques. » Une terrible inversion, car les risques étaient pris non par le laboratoire mais par la population. Elle a été aussi victime du harcèlement médiatique et institutionnel à coups de clips culpabilisants, tels ceux avec la grand-mère qui ne veut pas contaminer ses petits-enfants, et vice-versa. D’ailleurs la publicité ministérielle style « Tous vaccinés, tous protégés » dans le cadre familial continue. Côté santé les risques d’être malades du vaccin ont été largement plus importants, surtout pour les enfants. Côté gros sous, en revanche aucun risque pour Pfizer. D’ailleurs, par précaution, les tractations entre Albert Bourla et Ursula van der Leysen se sont déroulées dans la plus totale opacité.

L’opacité sur les contrats

Pas plus que la Cour des comptes européenne que les députés, lors de l’audition de Pfizer, n’ont reçu de réponses à leurs interrogations sur les prix, les contrats, les effets secondaires, les SMS. Virginie Joron, eurodéputée (RN) exprime l’opinion des députés après cette audition-mascarade.

Multirécidivistes

Pfizer baigne dans la corruption tout comme la Commission européenne. Pfizer a été condamné aux États-Unis 91 fois à plus de 10 milliards d’amendes depuis 2000. Lorsqu’elle était ministre de la Défense en Allemagne, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a signé pour 390 millions d’euros de contrats avec des cabinets conseil. Sa nomination à la Commission européenne a été un moyen de l’éloigner, mais lui a donné, hélas, l’occasion de malversations à plus grande échelle. À cause d’elle, Bruxelles s’est engagée les yeux fermés pour 71 milliards d’euros de contrats pour 4,6 milliards de doses de vaccins contre le covid-19 dont 2,4 milliards de doses pour Pfizer-BionTech soit 36 milliards d’euros. Une arnaque à très grande échelle.

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