Encore une affaire qui viendrait confirmer le danger potentiel du vaccin AstraZenaca. Celle de Joël Crochet décédé de « multiples thromboses » après sa premiere injection. La famille a déposé plainte contre X pour « homicide involontaire ».
C’est le 7 mars dernier que Joël Crochet avait reçu sa première dose de vaccin AstraZeneca à Annecy, lors d’un grand week-end de vaccination. Atteint de légère comorbidité, cet homme de 63 ans avait préféré ne pas trop attendre.
Dès le lendemain pourtant, il rencontre des problèmes respiratoires et articulaires. Soigné par son médecin à la cortisone, son état s’améliore dans la semaine. Mais le week-end suivant, il se dégrade à nouveau.
« En l’espace d’un jour et demi, il a multiplié problèmes sur problèmes, des thromboses sur des organes vitaux, le foie, les reins, le cerveau… puis il a été placé en réanimation. Cela a été fulgurant », témoigne son frère Jean-Luc Crochet.
Il ne s’agit pas de la première procédure visant en France le vaccin du laboratoire anglo-suédois : une plainte contre X a été déposée à Toulouse (Sud-Ouest) après la mort d’une femme de 38 ans et le parquet de Nantes a ouvert une enquête préliminaire à la suite du décès d’un étudiant en médecine.