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Extrême-gauche : Des apéros géants pour « fêter » la mort de Jean-Marie Le Pen

La mort de Jean-Marie Le Pen à l'âge de 96 ans a suscité des réactions contrastées à travers la France. Des rassemblements de quelques centaines de personnes ont eu lieu à Paris et dans plusieurs autres villes pour célébrer cet événement. Ces manifestations ont provoqué une vague d'indignation au centre et à droite de l'échiquier politique, tandis que La France Insoumise a justifié ces actions.

mise à jour le 08/01/25

Les rassemblements festifs pour célébrer la mort de Jean-Marie Le Pen ont suscité de vives réactions.

La France Insoumise Défend les Rassemblements

Mathilde Panot, présidente du groupe La France Insoumise (LFI) à l’Assemblée nationale, a pris la parole le 8 janvier sur RTL pour défendre ces rassemblements. Elle a déclaré : « Non, je ne suis pas choquée par cette jeunesse qui continue d’emmerder le Front national. » Elle a ajouté : « Personne ne danse sur un cadavre, il faut arrêter de dire n’importe quoi. » Pour elle, Jean-Marie Le Pen n’était pas un simple adversaire politique, mais « un ennemi de la République ».

Indignation au Centre et à Droite

Les réactions au centre et à droite ont été vives. Sébastien Lecornu, ministre des Armées (Renaissance), a exprimé son mécontentement sur CNews le 8 janvier : « Le combat politique, c’est pour les vivants. Il faut poursuivre avec les vivants mais respecter les morts, c’est une question de dignité. » Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur (Les Républicains), a également condamné ces festivités sur le réseau social X : « Rien, absolument rien ne justifie qu’on danse sur un cadavre. La mort d’un homme, fût-il un adversaire politique, ne devrait inspirer que de la retenue et de la dignité. Ces scènes de liesse sont tout simplement honteuses. »

Réactions Diverses des Personnalités Politiques

Florian Philippot, président du Parti souverainiste, a qualifié ces images de « quelle immoralité, quelle indignité », se demandant pourquoi les médias les relayaient. Philippe Ballard, député du Rassemblement national (RN), a dénoncé « les regroupements organisés par l’extrême-gauche ». Henri de Beauregard, président de la Haute Autorité des Républicains, s’est interrogé : « Comment imaginer « vivre ensemble » avec des êtres qui s’affranchissent des règles de civilisation les plus élémentaires ? »

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1 commentaire sur "Extrême-gauche : Des apéros géants pour « fêter » la mort de Jean-Marie Le Pen"

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  1. Le Ministre Retailleau est flingué, il s’est tiré une balle dans le pied en parlant de CADAVRE !
    Panot (LFI) est tombé dans le panneau, flingué aussi. Déjà deux morts, après des commentaires sur une fête de poivrots Place de la République, vivement la suite !

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