Valérie Expert reçoit Caroline Eliacheff, pédopsychiatre, psychanalyste et essayiste française, co-auteur avec Céline Masson de La fabrique de l’enfant transgenre. La complaisance des médias et du puissant lobby LGBT pousse les mineurs à se faire opérer sur un coup de tête, sous prétexte qu’être un enfant-transgenre est tout-à-fait merveilleux, normal… alors que les opérations sont irréversibles, qu’elles soient chirurgicales ou hormonales. Ils sont 10 à 20 % à regretter leur transition et leur choix irréversible. La tolérance envers les tendances sexuelles aboutit au contrôle des corps et des esprits dès l’enfance, à la stérilisation, au remplacement de l’imaginaire libre par du concret irréversible.
Le lobby LGBT est vivement défendu par Accenture, Airbnb, Airbus, Allianz, Calvin Klein, Boston Consulting Group, CISCO, Coca-Cola, Daimler, Deloitte, Deutsche Bank, Deutsche Post, eBay, EY, Edelman, Facebook, Google, H&M, IKEA, Johnson & Johnson, KPMG, Mastercard, Microsoft, Netflix, PayPal, Pfizer, P&G, PwC, Pepsi, Salesforce, Scotiabank, Siemens, Spotify, Telekom, Uber. Toutes ont été présentes au Forum économique mondial de Davos pour défendre les droits des LGBT. L’égalité entre les sexes divers et variés semble convenir aux grandes entreprises. Curieusement ce même Forum s’est contenté de constater paisiblement que l’égalité des salaires hommes-femmes recule à cause… de la pandémie. Le problème sexuel transgenre serait-il l’arbre qui cache la forêt des inégalités sociales ?
Le Média en 4-4-2.