
Amélie Oudéa-Castera a su entretenir une excellente entente avec le milieu sportif, notamment avec le président du Comité olympique français, David Lappartient. Cette collaboration a été perçue comme un tandem efficace, et certains voient même en elle une future candidate à la présidence du Comité olympique français. Elle a également bénéficié d’un soutien politique solide, exécutant les ordres venant d’en haut, notamment ceux d’Emmanuel Macron.
Cependant, son bilan est marqué par une forte dose de communication, parfois au détriment de l’action concrète. Les dossiers sensibles, comme les abus dans le football ou les problèmes de gouvernance dans le rugby, n’ont pas été traités en profondeur. Les audits et enquêtes ont souvent été perçus comme des opérations de façade, sans réelle volonté de changer les systèmes en place. L’ingérence politique et le manque d’indépendance des institutions sportives sont également des points critiques.
Pas encore de commentaire sur "Romain Molina dresse le bilan d’Amélie Oudéa-Castera : Le bon petit soldat de Macron"