
Réinfo Liberté reproche à l’ANSM de ne pas avoir mis en place une pharmacovigilance active, c’est-à-dire une surveillance renforcée des effets secondaires des vaccins. Selon l’association, la pharmacovigilance passive actuellement en place ne permet pas de détecter tous les effets secondaires, car de nombreux patients et médecins ne les signalent pas systématiquement. De plus, l’ANSM aurait sous-communiqué sur les effets secondaires, laissant ainsi penser aux patients que les vaccins étaient « sûrs et efficaces ».
L’association dénonce également le fait que les vaccins contre la Covid-19 ont été mis en circulation avec une autorisation conditionnelle de mise sur le marché, ce qui signifie que leur évaluation est toujours en cours. Réinfo Liberté estime que cela revient à faire une expérimentation en temps réel sur la population, sans l’en informer correctement. Enfin, l’association pointe du doigt les erreurs et les malversations commises par les laboratoires pharmaceutiques, qui auraient dû conduire l’ANSM à stopper la mise en circulation de ces produits expérimentaux.
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