Toulouse – La préfecture ordonne le retrait des affiches (Reinfo Covid) de prévention des effets secondaires vaccinaux

mise à jour le 29/08/22

Un arrêté du samedi 27 août de la préfecture de la Haute-Garonne ordonne le retrait des affiches de prévention des effets secondaires vaccinaux à Toulouse dans le délai de 72 heures à compter de sa notification.


Arrêté préfectoral d’interdiction de la campagne d’affichage antivaccination Après avoir signalé au procureur près le tribunal judiciaire de Toulouse la campagne d’affichage en cours en Haute-Garonne qui comporte de fausses informations sur la vaccination contre la Covid-19, et après avoir mené une procédure contradictoire, le préfet de la Haute-Garonne, a pris un arrêté préfectoral d’interdiction de cette campagne d’affichage. L’arrêté interdit cette campagne et impose à l’annonceur, à l’association « Réinfocovid », et à l’affichiste, la société « Luchetta peinture et sérigrahie », de procéder au retrait de ces affiches dans le délai de 72 heures à compter de la notification de l’arrêté qui a été effectuée ce jour.

Arrêté préfectoral d’interdiction de la campagne d’affichage anti vaccination

Et comme le dogme inviolable va de pair avec les sanctions, le président de Réinfo Liberté, Vincent Pavan — que nous avons interviewé ici — a été suspendu par son université.  L’enseignant-chercheur en mathématiques, à qui on avait amputé de la moitié de son salaire, payait déjà son insoumission. La machine à broyer ceux qui résistent, continue son acharnement. Vous pouvez le soutenir ici : Soutien à Vincent PAVAN

Contrairement à une Karine Lacombe — décorée de la Légion d’honneur — qui annonçait le 6 mai 2021, un mensonge aux conséquences catastrophiques : « On sait maintenant que les vaccins préviennent la transmission du virus ». Il est aujourd’hui interdit de dire la vérité et ce sera la légion d’honneur à qui ment. Les valeurs sont inversées.

Toutes les vérités ne semblent pas très bonnes à dire :

Rappelons que Brigitte Milhau, chroniqueuse santé de CNews, annonçait clairement à propos des risques de myocardite (inflammation du muscle cardiaque) et de péricardite (de l’enveloppe du cœur) : « On s’est aperçu qu’il y avait un risque sur 5 000 pour les garçons et 1 sur 100 000 pour les filles après la deuxième dose. » Ça mérite une affiche en grand format !

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