
Le parquet a soulevé une exception de nullité, arguant que la plainte initiale n’aurait pas été parfaitement rédigée. Cette manœuvre, qualifiée de « gag » par l’avocat de Pierre Barnérias, a été interprétée comme une tentative de gagner du temps. La présidente du tribunal a décidé de reporter la décision au 17 octobre, laissant les parties dans l’incertitude.
L’avocat de Pierre Barnérias a exprimé sa frustration face à cette décision, soulignant que des témoins clés n’ont pas été entendus. Cette affaire met en lumière les dysfonctionnements du système judiciaire et la difficulté de faire entendre des voix dissidentes. Le procès, qui devait être une occasion de débattre des pratiques de l’AFP, se transforme en une attente interminable.
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