Un procès historique pour une jeune femme ayant subi des traitements médicaux suite à sa « confusion de genre » — ou dysphorie de genre. Chloe Cole, une jeune femme de 18 ans, poursuit en justice le plus grand groupe médical du pays, Kaiser Permanente, avec plus de 23 000 médecins, 39 hôpitaux, plus de 300 000 employés dont 87 000 médecins et infirmières et qui a généré plus de 95 milliards de dollars en 2022.
La jeune femme accuse l’établissement de l’avoir contrainte à subir des traitements médicaux pour sa confusion de genre à l’âge de 15 ans, ce qui a causé une mutilation permanente et des dommages corporels. Son action en justice est la première du genre dans ce pays et pourrait ouvrir les portes à des poursuites similaires.
« C’était une décision [NDLR : de changer de genre] que j’avais le droit de prendre à 15 ans. Et quand on m’a dit que je ne pourrais pas allaiter, cela ne signifiait pas grand-chose pour moi à l’époque car je n’étais qu’une enfant. »
Les médecins auraient omis d’expliquer les risques graves
Selon Chloe Cole, les médecins l’ont convaincue que sa confusion de genre ne pouvait être résolue que par un traitement médical et une chirurgie. Pour inciter sa famille à donner son accord, ils ont averti la jeune femme et ses parents des risques de suicide si elle ne suivait pas cette transition, tout en sachant que la plupart des confusions de genre se résolvent naturellement avec l’âge. De plus, les médecins ont omis d’expliquer les risques graves associés aux opérations et ont dissimulé le caractère expérimental des traitements insuffisamment étudiés.
« Les médecins ont commencé à lui administrer des bloqueurs de la puberté hors AMM (autorisation de mise sur le marché) il y a cinq ans, suivis de doses hebdomadaires de testostérone, puis finalement une double mastectomie [NDLR : opération chirurgicale qui consiste en l’ablation partielle ou totale d’un sein]. »
Une explosion de traitements pour la confusion de genre
Ces dernières années, la « médecine de genre » aux États-Unis a explosé, avec l’ouverture de cliniques dans tout le pays, des milliards de dollars sont en jeu. Ce qui a entraîné une explosion de traitements chez les adolescents. Les experts avertissent que cela pourrait entraîner un afflux de procès similaires à celui de Chloe Cole. Jay W. Richards, directeur de la fondation ‘The Heritage Foundation’, met en garde contre « l’émergence d’une crise juridique aux États-Unis, où des milliers de jeunes pourraient se détransitionner et être en colère contre ce qu’on leur a fait subir. Selon lui, il est possible que tout cela se termine dans cinq ou dix ans. »
Les ados mutilés, les chirurgiens et labos encaissent le gros lot
Au cours des dernières années, la « médecine de genre » aux États-Unis a connu une croissance exponentielle, avec l’ouverture de cliniques dans tout le pays. Cela a entraîné une multiplication des traitements pour les enfants souffrant de confusion de genre. Les opérations pour changer de sexe peuvent être extrêmement coûteuses tout comme les traitements médicaux. Une manne d’argent qui poussent les lobbys à souffler aux oreilles des politiques afin de normaliser ce genre de pratique. En France, le ministre de l’Éducation nationale, Pap Ndiaye, a mis en place des séances annuelles d’éducation à la sexualité et à la différence des genres pour les enfants dès l’école primaire. Ces séances ont lieu trois fois par an. Les futurs clients Français arrivent !
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