Marcel D. : « Il faut que le peuple prenne conscience que tous ensemble, on peut les mettre en slip demain ! »

mise à jour le 28/08/23

Vous connaissez Le Média en 4-4-2. Vous avez écouté l’accent parigot de Marcel, son créateur — un accent devenu rarissime. Mais ce mystérieux Marcel D. que personne n’a jamais vu, qui est-il vraiment ? Vous l’avez remarqué, les interviews en 4-4-2 s’enchaînent, médecins, acteur, chef d’entreprise… mais rien sur le patron. En fait, on y avait bien pensé, mais on n’osait pas. Question de discrétion. Jusqu’au jour où il a lancé :  « Et moi, je n’ai pas le droit à une interview, moi aussi ? »  Alors on a sauté sur l’occasion et on ne l’a pas regretté. C’est comme ça avec les meneurs d’hommes. Assez tergiversé, embarquement immédiat !

« Faire du 4-4-2, c’est faire vite et de manière efficace »

Yoann : Salut Marcel, et merci d’avoir accepté de répondre aux questions de ton Média en 442, c’est plutôt sympa ! On s’est rendu compte avec les collègues qu’on ne sait même pas pourquoi ce nom « 442 »… Vas-y avoue, tu étais fan de foot dans ta jeunesse ? Certains en tout cas préfèrent le 433, c’est plus offensif.

Marcel D. : Salut Yoann et merci pour cette première interview de toute ma life et que je t’ai demandé de me faire, histoire de me faire mousser un peu, je suis ravi d’en être. Donc concernant ce que tu appelles le 442, qui est en fait le 4-4-2, car tout d’abord le trait d’union fait toute la différence et surtout Jacqueline (notre correctrice) va te tirer les oreilles pour cette faute inexcusable qui mériterait un passage à la compta, mais comme tu es bénévole je t’absous de ce péché, jeune effronté. Pour en revenir au 4-4-2, en effet c’est la technique de foot la plus utilisée : 1 gardien, 2 défenseurs centraux, 2 défenseurs latéraux, 4 milieux de terrain et 2 attaquants. J’aime le foot pendant les grands tournois ou pour des gros matchs, mais c’est tout. Le 4-4-2 est aussi une expression que j’ai gardé depuis tout jeune, et je me suis rendu compte, par les commentaires sur YouTube, que je l’utilisais souvent, je n’y prêtais pas attention à vrai dire. Voilà en gros… En revanche, est-ce que tu peux me demander ce que signifie pour moi le 4-4-2 ?

Yoann : C’est-à-dire que j’avais une autre question…

Marcel D. : Tu veux aller à la compta ?

Yoann : Que signifie pour toi le 4-4-2 ?

Marcel D. : Très bonne question Yoann. Faire du 4-4-2 c’est dans l’apparence faire vite et de façon efficace. C’est comme mes vidéos, ça dure entre 10, 15 minutes. Je dis beaucoup de choses en peu de temps, mais ce que les gens ne voient pas, c’est le très gros travail derrière au niveau des recherches, de l’écriture et du montage (1 min représente entre deux voire trois heures de travail). C’est la force facile dans l’apparence mais avec tout le boulot qu’on ne voit pas en amont ! L’expression n’empêche pas de faire du 4-3-3, de jouer aux échecs ou tout autre technique évidemment, sauf le poker ou la bataille, faut pas être con non plus !

« Pour les médias, une vraie femme est forcément une féministe Femen, les nichons à l’air, le fion exposé plein sud et complètement hystérique, ou bien une femme soumise »

Yoann : Tu mentionnes souvent Madame Marcel dans tes vidéos. Que pense-t-elle de ton engagement et de ton site internet ?

Marcel D. : Franchement, ça fait rire Madame Marcel et elle trouve le combat que je mène très louable. Ça lui arrive même, à l’annonce d’un confinement, restriction ou autre de me dire : « Tu peux pas arrêter ça avec ton 4-4-2, faire un truc ?  » Elle pense que j’ai une influence au niveau national avec deux cent mille vues sur Youtube… Après Madame est aussi dans le monde très réel du travail, elle enchaîne deux boulots, pour elle tout ça est très éloigné de son monde… Elle est heureuse que d’autres femmes se reconnaissent en elle, car il est vrai que pour les médias, une vraie femme est forcément une féministe Femen, les nichons à l’air, le fion exposé plein sud et complètement hystérique ou bien une femme soumise. Alors qu’en réalité, la majorité des femmes sont comme Madame Marcel, une femme qui aime ses enfants, son homme et qui se soutiennent mutuellement… Bon après c’est vrai que Madame Marcel, niveau diplomatie c’est pas son truc, mais en réalité c’est une femme extrêmement gentille, faut juste pas gratter la maisonnée, garder les bras le long du corps et ne pas faire de gestes brusques, avec ça tout ira bien !

Yoann : Une rumeur court dans les discussions du 4-4-2 : tu te lèverais aux aurores tous les jours pour parcourir l’actualité. Et il n’est pas rare de t’entendre nous dire, à la sortie d’une réunion vers 22 h 30 : « Allez, bon appétit à tous ! Moi, j’ai la dalle, je vais passer à table et me grailler un bout de sauciflard. » Alors, c’est quoi les aurores pour Marcel et combien d’heures dors-tu par nuit ?

Marcel D. : Je vois que ça discute dans mon dos… En effet, je me lève très tôt puisque j’ai deux autres jobs, dont un qui me relie au monde extérieur, donc les enchaînements avec l’association, ça remplit bien les journées. Et il est vrai que comme je rentre tard, je répond aux demandes, les appels, les 4-4-2…, et parfois ça m’oblige à grailler de temps en temps un bon sauciflard ou le pâté Roquet entrelacé de Cantal « entre-deux » ou carrément du Bleu (c’est mon préféré). Concernant l’actualité, je regarde tous les matins (toute la journée d’ailleurs) depuis des années, ça me permet de faire la revue de presse avec Jordan afin que, derrière, la rédaction puisse enchaîner, tout est bien huilé et tous travaillent intensément afin d’être au niveau. A noter aussi que je vais moins aux réunions puisqu’il y a plus d’autonomie et que ma présence n’a plus lieu d’être, petit à petit nous nous professionnalisons, donc la charge de travail est moindre à ce niveau-là et je peux mettre mon énergie autre part. Il faut dire aussi que tous mes collaborateurs ont une vie de famille, un job, des sociétés… et qu’ils doivent gérer comme moi — pas forcément avec du sauciflard — donc les nuits sont plus courtes forcément… et nous sommes tous bénévoles, donc un grand merci à toute l’équipe, vous êtes au top ! Et j’oubliais, mes horaires grosso-merdo c’est 6 h 30 à minuit et le week-end ça part en sucette.

Yoann : Je sais que l’art est important pour toi, la musique, le dessin… Est-ce que tu peux nous expliquer pourquoi ?

Marcel : L’art, j’en suis pas un expert, mais je sais que le « Plug anal » de la place Vendôme, la statue d’une femme qui pisse debout à Nantes ou Domestikator du Centre Pompidou qui simule la sodomisation de ce qui parait être un chien, je peux te dire que tout ça c’est de la perversion, c’est le déclin, c’est l’art au service de la laideur, du mal. Tu vas sur mon instagram, je tombe sur des artistes incroyables, les mecs te grattent la ferraille pour en faire un joyau, des peintres, des sculpteurs, c’est époustouflant… ou dernièrement avec cette vidéo de Victor, l’écriture, le montage, c’est splendide. On a aussi Fabien avec son émission « On s’livre à vous », nos musiciens… Normalement tout ça est dans l’ombre, je pense que l’on veut planquer l’art derrière la médiocrité, on veut planquer le génie français car il fait peur, parce qu’il est beau, et le beau ça s’contemple, ça émerveille, ça réveille, le beau est révolutionnaire, l’art fait peur aux puissants. Domestikator ça donne pas envie de faire la révolution mais les puissants préfèrent nous voir sodomiser des canidés plutôt que de nous fédérer. Désolé pour ce moment de poésie.

« Chercher la vérité fait de toi quelqu’un de gênant, la trouver fait de toi quelqu’un d’encombrant, la diffuser fait de toi un emmerdeur né »

Yoann : Tu le dis souvent, ta « mission de vie » est de faire chier l’Etat Profond. Tu as commencé quand ce job ? Le petit Marcel complotait déjà dans sa classe de maternelle ?

Marcel D. : C’est une très longue histoire (que je raconterai en détail une autre fois), mais en effet, pour moi, la vie est d’une importance capitale et ne doit pas être gâchée. Je n’ai pas de frontières pour discuter avec quelqu’un par exemple. Je ne supporte pas que l’on m’interdise de parler avec mes supposés ennemis que les médias, politiques, bien-pensants ou autres associations à la con, ont choisi pour moi. Je vais voir là où on me dit de ne pas aller voir et je découvre souvent le pot aux roses, celui de nous empêcher de découvrir l’autre, de peur qu’on discute, qu’on se comprenne, qu’on apprenne et qu’on se réconcilie. Le « ni pardon ni oubli » est l’arme la plus puissante de nos maîtres. Ils se paluchent la daurade à nous voir, divisés, nous tanner le derche. Il est hors de question que je leur fasse ce plaisir, c’est pas sur ma gueule qu’ils vont s’faire une faciale ces trous du cul. Chercher la vérité fait de toi quelqu’un de gênant, la trouver fait de toi quelqu’un d’encombrant, la diffuser fait de toi un emmerdeur né, je vais au bout de ma logique. Et en discutant avec les gens, je me rends compte, qu’on est un paquet à être comme ça, les élites ont du souci à se faire, car sans la division, ils n’ont aucune prise.

Yoann : D’ailleurs, combien sommes-nous de Français à avoir compris leurs magouilles selon toi ? Les médias mainstream laissent entendre que nous serions 20 % et que la Macronie souhaite nous avoir à l’usure.

Marcel D.Pour les 20 %, tu fais référence à l’article de La Dépêche du midi qui lâche le morceau via un article anonyme… À vrai dire je ne sais pas du tout combien ont capté l’entourloupe, mais ce qui est certain c’est qu’il y en avait énormément à mon époque (avant le CovidGate). Depuis cette mascarade du Covid, ça a explosé, en ce moment ça augmente jour après jour et notre média va faire en sorte que ça s’accélère. Dans cet océan de mensonges, la vérité va reprendre ses droits. Face à l’usure, on va polir notre travail, j’ai très conscience de l’équipe d’enfoirés qu’on a en face, mais nous avons au sein du peuple toutes les compétences dans tous les domaines dont nous avons besoin pour les contrer. En la jouant collectif, l’usure ils vont se la prendre dans la gueule !

« Moi je vois des femmes et des hommes aussi timbrés que moi alors je fonce, feu rouge, pas feu rouge : je passe »

Yoann : Parlons maintenant du bébé. Comment as-tu eu l’idée de lancer un site internet ? Comment se porte-t-il et comment vois-tu son avenir ?

Marcel D. : En réalité, c’est l’agacement, le trop-plein, le mensonge, l’absurdité de la situation qui m’a poussé à le faire, il fallait faire quelque chose… Du coup j’ai enfilé mon armure, une paire de pantoufles de chez Kiabi, un vieux jogging qui sent bon l’antiquité, mon peignoir aéré par deux, trois trous, un stylo 4 couleurs, une feuille et direction le grenier pour écrire ma colère, vanner mes ennemis et lancer mon appel. La réponse à cet appel a été incroyable. J’ai passé des semaines au téléphone, à prendre des rdv, à organiser tout ça, à créer un noyau dur pour finalement, avec mon équipe, monter ce site avec les gens du peuple, pour le peuple. Ça a été un très, très gros boulot, mais ça s’est fait en 4-4-2 pour une raison simple : on est déterminé, on part au combat et on ira jusqu’au bout (avec ou sans les pantoufles, y’a pas d’obligation vestimentaire évidemment !). Le génie français est là, il sommeille au milieu du peuple, allons le chercher. J’ajoute que j’avais une idée très bienveillante du peuple français, mais en discutant avec ces centaines de personnes, il y a une telle hargne, une telle envie de savoir, de se battre, une autocritique naturelle et surtout une gentillesse que l’idée très bienveillante que j’avais est cent fois mieux que ce que je pensais. Forcément, moi, je vois des femmes et des hommes aussi timbrés que moi. Je fonce, feu rouge, pas feu rouge, je passe, et quand on prend conscience de ça, on se dit que bouger une montagne ça va pas être compliqué, il faut juste que le peuple prenne conscience que tous ensemble on peut les mettre en slip demain (même si Jean Castex en slip, ça fait pas rêver, j’avoue). Donc le site se porte merveilleusement bien, c’est un travail de tous les jours et il va y avoir de grands changements au niveau de l’interface, beaucoup d’autres améliorations dans la fonctionnalité, les interviews vont se multiplier, des émissions vont émerger… Je le dis à nos ennemis qui nous lisent : on s’installe pour du très long terme et on va mettre le nez là où on n’a pas le droit de le mettre, l’aiguille dans la botte de foin, j’la trouve toujours !

Yoann : Comment et quand allons-nous pouvoir gagner ? Est-ce véritablement possible face au système et à ces puissants médias aux mains des milliardaires ?

Marcel D. : C’est la question que tout le monde se pose : est-ce qu’on va gagner ou finir avec une plume dans l’cul, vacciné tous les six mois et payer l’air que l’on respire ? Je peux te dire tout de suite que la plume dans l’cul ça m’ira pas au teint, ça chatouille beaucoup trop et en tant que complotiste, évidemment, je me pose la question concernant la variété du plumage que les maîtres du monde nous concoctent. Est-ce la plume d’une pintade, d’un faisan, lophophore, paon, cacatoès ? L’avenir nous le dira. En attendant, je me battrai contre ça et contre tout le reste. Mais, plus sérieusement, face à cette machine de guerre du système mondialiste et de ses soldats-médias propagandistes, il est clair que, quand t’es en face du diable, t’as tendance à faire dans ton benne, te décourager, pour finalement abandonner et c’est d’ailleurs la stratégie de l’équipe d’en face. Ils sont très au courant des moyens de manipulation des masses et de nous niquer le moral, ça c’est écrit au marqueur rouge en haut du tableau. C’est d’ailleurs Christophe Barbier qui a lâché l’info, pensant naïvement échapper au peuple par ce retournement, c’est bon signe. Maintenant, si le peuple prend conscience de son potentiel, de sa puissance de frappe, évite le piège de la division, demain on gagne le coude sur la table, les chaussons aux pieds… Et je m’en suis rendu compte à mon premier appel en demandant de l’aide à des développeurs web pour notre site, j’ai eu plus de vingt développeurs prêt à m’aider et plus de cinq cents personnes dans tous les autres domaines, musique, rédaction, traduction, dessin, montage… Je vous laisse imaginer ce que vous pouvez faire avec vingt développeurs ? On peut, demain, avoir notre Twitter à nous, notre Facebook, notre Youtube… soyons conscients de ça ! Le site Le Média en 4-4-2 est l’exemple même de ce qu’il est possible de faire, c’est pas parfait, tout n’a pas fonctionné du premier coup, mais on l’a fait, on se professionnalise avec des milliers de projets et pas des moindres, puisqu’on compte faire front. Je rappelle qu’au départ j’y connais que dalle, structurer une équipe c’est pas mon domaine, j’ai déjà du mal à me structurer pour mettre mon calbute dans la panière à linge sale — Madame Marcel me le rappelle assez souvent — mais bon, avec l’aide de tous, ça s’est fait, on se marre bien mais on est aussi extrêmement sérieux. Et autre point important, il faut provoquer le miracle, il faut être audacieux, combatif, ne jamais rien lâcher, jamais. C’est comme ça qu’on gagne, pas autrement ! Rappelons-nous bien que nous sommes plus nombreux que les 1 % qui nous emmerdent. Il faudra aussi qu’un lien se crée entre « les éveillés », que des combats communs émergent, que des mains se tendent, nous devons nous entraider, être soudés comme l’équipe d’en face est soudée, ils ont très bien compris l’importance de l’être.

« Ne baissons jamais les bras car sinon nous serons les derniers hommes libres et surtout nos enfants seront la première génération d’esclaves »

Yoann : On me pose souvent la question « alors, c’est qui Marcel ? Il est sympa ? » A la deuxième, je réponds que oui et à la première je leur cite ce que tu nous a dit un jour : « pour vivre heureux, vivons caché ». Cet anonymat sera-t-il éternel ? Descendras-tu un jour de ton grenier ?

Marcel D. : Il faut avouer que je suis un peu sauvage et que l’anonymat me va très bien dans ma petite vie… Dans un premier temps je pense que cet anonymat est plutôt pas mal, puisque ça ne parasite pas ce que je dis, on ne peut pas « mal juger » ce que je dis, parce qu’on n’aime pas ma gueule par exemple — non pas que j’aie une gueule de con, mais… — y’a un certain confort, mais ça ne me dérangera pas non plus au moment de montrer ma face. Perdre l’anonymat au profit de la liberté, je signe des deux mains !

Yoann : Sans doute que des lecteurs qui sont arrivés jusqu’ici souhaitent savoir comment ils peuvent aider concrètement le 4-4-2 ? Et je te laisse le mot de la fin. Merci d’être descendu de ton grenier pour nous répondre !

Marcel D. : Concrètement, le nerf de la guerre c’est l’argent, la thune, le flouze, la piécette, c’est ce qui permet d’avoir le matos pour les reportages, interviews, frais de déplacement, le site et tout ce que l’on peut imaginer… Si vous avez vu l’interview du Pr Perronne — que je salue au passage —, vous avez pu remarquer la qualité de cet entretien. On s’est pas foutu d’votre gueule et on a trouvé mieux que Claire Chazal et Pat Le Guen pour s’y coller. Je ne vous cache pas que nous mettons le paquet pour concurrencer sérieusement les médias mainstream et pour ça il faut tout d’abord une équipe qui sache le faire, qui a le temps de le faire et qui, à terme, puisse le faire à plein temps et pour cela il faudra les payer, c’est notre objectif. L’interview du Pr Perronne, le site et tout ce qui s’y passe, c’est pour vous montrer le sérieux de ce à quoi nous travaillons. Nous partons en guerre et nous y mettons nos tripes depuis presque un an, avec la même volonté de vouloir changer les choses. Et pour continuer, nous avons besoin d’aides financières, car nous n’avons pas de sponsors, pas de publicités sur le site, pas de lobbys, pas de subventions, rien, nous sommes cent pour cent indépendants. C’est le prix à payer pour une totale liberté et dire la vérité. Notre lobby, c’est le peuple. Donc si vous souhaitez en être et voir comment on retourne le game, aidez-nous via les liens ci-dessous.

Et pour le mot de la fin, je remercie tous les soutiens, toute cette bienveillance à mon égard qui me conforte dans l’idée de ce que je me fais de l’être humain quand on enlève les barrières de la division qui nous empêche de nous rencontrer, de discuter et finalement nous rendre compte d’une chose, c’est qu’on est tous dans la même merde. Il y a un combat à mener, allons-y, ne baissons jamais les bras car sinon — je vais être direct — nous serons les derniers hommes libres et surtout nos enfants seront la première génération d’esclaves. Et ça pour moi, c’est juste pas possible. Donc bougeons-nous le cul, ne le présentons pas ! 

A tchao, les amis.

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