
« Ce président a sacrifié la jeunesse, sacrifié le monde culturel, sacrifié l’hôpital, et je ne voudrais pas qu’il sacrifie le rêve français, le rêve d’avenir des Français.
Et ceci ne doit pas se faire au dépens de la démocratie […]. Le président de la République a peur de prendre une « branlée » et c’est ce qu’il va arriver. »