
La protéine Spike, produite par les vaccins à ARNm, était supposée être éliminée rapidement par l’organisme. Cependant, des recherches publiée par l’Université de Yale montrent qu’elle peut persister bien au-delà des délais initialement annoncés. Cette persistance pourrait être liée à l’intégration de résidus d’ADN dans le génome humain, un phénomène inattendu et potentiellement dangereux.
La présence prolongée de la protéine Spike dans l’organisme soulève des inquiétudes quant aux effets à long terme sur la santé. Des chercheurs ont observé que cette protéine peut pénétrer dans les noyaux cellulaires et perturber les mécanismes de réparation de l’ADN, augmentant ainsi le risque de cancers et de maladies auto-immunes. De plus, la protéine Spike est connue pour être toxique pour l’endothélium des vaisseaux sanguins, ce qui pourrait entraîner des complications cardiovasculaires.
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