La Stratégie Zelenski : La Guerre comme Prétexte
Le premier scénario évoqué par la presse s’inspire directement de l’exemple ukrainien. En cas de conflit majeur, Macron pourrait invoquer l’état d’urgence pour justifier le report, voire l’annulation, de l’élection présidentielle. Des articles de la Constitution, comme l’article 16 sur les pleins pouvoirs, ou l’article 36 sur l’état de siège, lui offriraient un cadre légal pour rester au pouvoir. Une situation qui rappelle étrangement les déclarations récentes de Macron sur l’Ukraine, où il semble tout faire pour attiser les tensions plutôt que pour chercher la paix.
Le Modèle Roumain : L’Ingérence comme Alibi
Le deuxième scénario, lancé par France Info, s’appuie sur la menace d’ingérence russe. En brandissant le spectre d’une manipulation des réseaux sociaux par Moscou, Macron pourrait justifier l’annulation du scrutin, à l’image de ce qui s’est passé en Roumanie. Un prétexte bien pratique pour éviter une défaite électorale, tout en se présentant comme le défenseur de la démocratie. La nomination de Richard Ferrand, proche de Macron et favorable à un troisième mandat, à la tête du Conseil constitutionnel, ne fait qu’ajouter à la suspicion.
Le Relooking Médiatique : Macron, le Héros Malgré Lui
En parallèle, la presse s’emploie à redorer le blason d’un président en perte de vitesse. Des titres élogieux fleurissent : « La Renaissance d’Emmanuel Macron », « Macron reprend la main », « Sa cote de confiance rebondit ». Une opération de « rebranding » bien orchestrée pour vendre à l’opinion publique un Macron rajeuni, presque indispensable. Pourtant, derrière cette façade, se cache une réalité moins glorieuse : un président prêt à jouer avec les institutions pour garder le pouvoir.
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